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  • : Rendez-Vous Coaching et Bien-Être
  • : Coaching de vie - développement personnel.Ce blog est le votre. Des pistes, des lectures et des réflexions mises à votre disposition pour vous aider peut-être à mieux vous connaître, et avancer plus librement dans votre vie. Merci à Vous... rendezvouscoaching.wix.com/energie
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1 mai 2013 3 01 /05 /mai /2013 13:20

Oser m'exprimer, en laissant chez l'autre la responsabilité de ce qu'il entend, et donc de ce qu'il fait et fera avec ce que je lui dis.

C'est celui qui reçoit le message qui lui donne un sens, avec lequel il peut soit s'agrandir soit se blesser.

Un mot blessant peut aussi en cacher un autre plus émouvant, ou plus essentiel.

Jacques Salomé


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30 avril 2013 2 30 /04 /avril /2013 12:21


Le rêve intrigue et inquiète. Il dérange par ses extravagances et ses obscurités ; certains n'y voient qu'un dérèglement de notre cerveau en sommeil, la psychologie lui accorde le plus grand intérêt et la plupart d'entre nous ne savent pas très bien quelle place lui attribuer, ni par quel bout le prendre… Alors qu'est-ce que le rêve, un "gri-gri" dérisoire ? Un "sous-produit" de notre cerveau ? Ou bien, comme le soutiennent les psychologues, une voie d'accès à notre monde intérieur ?



On emploie environ 1h30 de nos nuits à rêver, ce qui correspond à 5 ans de notre vie. Les rêves n'ont donc pas fini d'être étudiés. Il est clair que rêver est une nécessité physiologique et un facteur déterminant de notre équilibre psychique. Néanmoins, les songes garderont toujours leur part de mystère. Sont-ils plutôt pour ou contre nous ?

 

Interprétation neurologique

Pour les scientifiques du XIXe Siècle, le rêve est considéré comme une simple réaction physiologique provoquée par les sensations venues du corps et de l'environnement ; il est donc dénué de sens et chercher à l'interpréter relève de la pure fantaisie. Cette hypothèse a même été complétée aujourd'hui : le rêve servirait à entretenir la mémoire. Ces images seraient une conséquence des réorganisations qui ont cours dans le cerveau pendant la nuit. Deux possibilités sont évoquées : soit ils constituent une "compilation" des souvenirs qui vont être archivés, soit au contraire ils représentent ceux qui vont être éliminés. Pour l'instant, ces théories n'ont pas été confirmées par l'expérimentation.



Un être s'endort, un inconscient s'éveille…

Il faut attendre 1900 et la parution du livre de S. Freud ("le rêve et son interprétation") pour que le rêve, en entrant dans le champ de la psychanalyse, trouve une fonction d'importance : nous révéler à nous-mêmes. Certains de nos rêves ont un sens évident. Ils sont proches de la vie quotidienne et s'appliquent à réaliser la nuit ce que le jour n'a pas permis. En période de régime intensif, on va rêver, par exemple, que l'on dévore une énorme choucroute. Mais la majorité de nos rêves d'adultes nous semblent dénués de sens, incohérents et si étrangers à nous-mêmes, si effrayants quelquefois, que l'on préfère ne pas s'y attarder.

Or, ce que nous apprend Freud, c'est quele rêve est la voie d'accès à l'inconscient, ce grand réservoir d'images, de sensations, d'émotions, de désirs censurés depuis l'enfance par notre conscience morale et donc inaccessible à l'état de veille. Si les rêves sont souvent si confus, c'est que, malgré un certain relâchement de cette conscience durant le sommeil, la censure n'est jamais complètement levée. Le rêve fonctionne comme une énigme qui ne sera résolue que si l'on parvient à l'interpréter, autrement dit à remplacer ce qui est clairement montré (images, mots, sensations, émotions…) par ce qui est caché (le sens véritable du rêve). Les décoder peut donc nécessiter l'aide d'un psychothérapeute qui saura éclairer ce que notre conscience se refuse à voir, mais nul mieux que nous n'est à même d'en valider l'interprétation.


Des cauchemars utiles

Même les rêves les plus douloureux (ces cauchemars qui troublent nos nuits et quelquefois nos jours) ne sont pas nos ennemis car ils sont le signe que quelque chose en nous cherche à résoudre un conflit interne, une difficulté, une vieille souffrance. C'est la raison pour laquelle ils reviennent parfois avec insistance pendant de longues périodes de vie. Nos rêves cherchent inlassablement des compromis entre les différentes forces qui nous habitent.

Prendre conscience de leur contenu permet de redonner vie à des aspects délaissés de notre personnalité, et donc de vivre en meilleur accord avec nous-même. Les rêves, même s'ils sont cauchemardesques, témoignent de l'extraordinaire vitalité de notre psyché, ils en sont l'intime voix.

Quelles que soient les hypothèses retenues, nos rêves travaillent donc pour nous. Selon la psychanalyse, en assouvissant nos désirs réprimés ils font à la fois office de gardien de notre sommeil et de soupape de sécurité. En faisant remonter à la surface ce qui nous affecte "en coulisse", ils nous permettent de décharger nos tensions intérieures et nous évitent les désordres qui pourraient en résulter : fatigue, échecs, montées d'agressivité, somatisations…

Selon les neurologues, ils seraient importants dans les processus de mémoire. Alors pourquoi les ignorer ou s'en inquiéter ? Tout au contraire, ils méritent qu'on les accueille et gagnent considérablement à être connus !
Nos rêves sont nos alliés : "Fais de ta vie un rêve et de ton rêve une réalité" disait Saint-Exupéry.


Dominique Pir

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30 avril 2013 2 30 /04 /avril /2013 10:11

L’érotomanie est une psychose qui se manifeste par une illusion délirante. L’érotomane est persuadé d’être aimé, alors qu’il n’en est rien.

Cette conviction est obsédante, et les érotomanes harcèlent souvent la personne en question. Il ne s’agit pas d’un harcèlement sexuel, car l’érotomanie vise à un amour idyllique, pur. Ce trouble touche très majoritairement des femmes, bien que quelques hommes soient concernés. Le sujet de leur érotomanie est un homme de haut statut social ou intellectuel, très rarement une femme.


Que se passe-t-il dans la tête d’un érotomane ?

L’érotomane, qui est donc généralement une femme, souffre d’un délire. Elle croise un homme et interprète certains de ses actes ou paroles comme les signes d’un amour. L’érotomane se persuade que l’homme est amoureux d’elle, mais qu’il n’ose pas ou ne peut pas lui dire.

Du coup, elle provoque de nouvelles rencontres pour permettre cette déclaration. Et chaque contact va lui donner de nouveaux signes qui, mal interprétés, renforceront sa conviction. La personne qui souffre d’érotomanie a l’impression de répondre à la demande de l’autre. Du coup, elle vit dans l’attente. Mais comme la révélation n’arrive pas, le dépit prend sa place. Au stade ultime, l’érotomane peut éprouver un sentiment de rancune ou devenir agressive pour obliger l’autre à avouer son amour.



Les causes de l’érotomanie

On ne connaît pas les causes exactes qui engendrent l’érotomanie. Il existe plusieurs hypothèses, dont la plupart sont liées à un manque d’affection pendant la petite enfance.

Un manque d’affection paternel pourrait entraîner ce fantasme d’amour de la part d’un homme socialement élevé. Cependant, de nombreux spécialistes pensent que c’est une part féminine qui est recherchée. Le manque viendrait donc plutôt de la mère.

Au niveau psychanalytique, certains avancent que l’érotomanie viendrait d’une difficulté à accepter l’absence de phallus chez sa propre mère, entraînant une impossibilité à se définir en tant qu’individu sexué (en tant que femme, donc). Qu’elle qu’en soit la cause, le délire est toujours une échappatoire pour ne pas avoir à affronter une réalité trop difficile.



Une femme érotomane peut-il être dangereuse ?

Le délire de l’érotomane finit par recouvrir tous les aspects de la vie. Au final, l’érotomane interprète tout ce qui se passe en fonction de son obsession. Elle est souvent convaincue qu’il existe un complot pour empêcher son amoureux de se déclarer. Même l’entourage est suspecté, surtout s’il ose émettre des doutes sur la réalité de cet amour. Ce sentiment paranoïaque peut déclencher une certaine forme d’agressivité.

Pour celui qui subit le délire de l’érotomane, le risque est donc le harcèlement et, de façon exceptionnelle, l’agression. Mais, le plus souvent, c’est l’érotomane qui est réellement en danger, et les suicides sont nombreux. Quand il n’est plus possible de maintenir le délire, l’érotomane se retrouve seul face à sa vérité…



Traitement de l’érotomanie

Quand le sujet est en phase d’agressivité, l’hospitalisation psychiatrique est recommandée. Pour le reste, l’érotomanie demande un suivi sur le long terme. Pour que le traitement réussisse, il faut que l’érotomane puisse abandonner son délire. Or, l’amour fantasmé représente pour l’érotomane un véritable mécanisme de survie. Il ne pourra s’avouer son délire qu’à partir du moment où il sera assez « reconstruit » pour affronter les causes qui l’ont poussé au délire. Un travail long et douloureux, dans tous les cas…

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30 avril 2013 2 30 /04 /avril /2013 09:41

L’avis de Carl Rogers

« Bien que l’on ait beaucoup écrit au sujet de la résistance en thérapie, je suis actuellement enclin à ne pas être d’accord avec la plupart des opinions qui ont été exprimées et je propose une autre hypothèse qui peut être mise à l’épreuve, je l’espère, au fur et à mesure que notre connaissance de la thérapie s’accroît.

Cette hypothèse est que la résistance à la thérapie et au au thérapeute n’est ni une phase inévitable, ni une phase désirable de la psychothérapie, mais qu’elle naît avant tout des piètres techniques de l’aidant dans le maniement des problèmes et des sentiments du client.

Plus exactement, même, elle naît des efforts maladroits du thérapeute pour accélérer le processus thérapeutique en mettant sur le tapis des attitudes affectives que le client n’est pourtant pas encore capable d’affronter. »

Je ne suis pas loin de croire la même chose ! et je ne suis pas le seul….

Apres avoir interviewé pas moins de 200 analysants, je pense que ce n’est pas la psychanalyse qu’il faut mettre en cause, mais l’incompétence de la plupart des analystes ! (Ou prétendus tel !)

Sigmund

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29 avril 2013 1 29 /04 /avril /2013 08:12

« Rien n’est impossible, seules les limites de nos esprits définissent certaine choses Comme inconcevables.

Il faut souvent résoudre plusieurs équations pour admettre un nouveau raisonnement. C’est une question de temps et de limites de nos cerveaux. Greffer un cœur, faire voler un avion de trois cent cinquante tonnes, marcher sur la lune a dû demander beaucoup de travail, mais surtout de l’imagination.

Alors quand nos savants si savants déclarent impossible de greffer un cerveau, de voyager à la vitesse de la lumière, de cloner un être humain, je me dis que finalement ils n’ont rien appris de leurs propres limites, celles d’envisager que tout est possible et que c’est une question de temps, le temps de comprendre comment c’est possible. »

Extrait de "Et si c'était vrai...", Marc Levy

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27 avril 2013 6 27 /04 /avril /2013 10:28


J’ai ouvert en moi un grand livre : le grand livre de la peur. 


Le premier chapitre débutait ainsi : " Si ta peur est une « stop-peur » de ta liberté, cesse de lui tourner le dos et marche vers elle

Cette peur qui te fait fuir les situations « interdites » est en réalité une peur-guide qui t’indique précisément la direction à suivre pour étendre le champ de ta liberté. 

Elle t’indique la route vers toi-même, car le chemin de la connaissance et de la conscience de soi passe par la connaissance de ses peurs.

Derrière la peur se cache la liberté ; marcher vers l’une, c’est inévitablement aller à la rencontre de l’autre.

Tout en continuant ma route sur le chemin, j’ai croisé la peur de mon semblable qui possède le pouvoir de me juger et de m’abandonner à ma solitude. 

Je me souviens de cette peur aux tripes ressentie pendant des jours face à la décision de dire l’indisable, de révéler l’inacceptable, de vivre mon mal-à-dire.

Cette peur que je vivais comme suicidaire, convaincu de courir à ma propre perte. J’allais m’ouvrir pour ensuite mourir à une relation qui était source de vie. 

Et quelque chose est effectivement mort en moi : « mon paraître », « ma façade », « mon armure ». Mon « moi-public » laissait place à mon « moi-privé ». 

L’être l’emportait sur le paraître. J’apprenais à vivre avec autrui au lieu de vivre en fonction d’autrui. 


Ayant choisi de tout perdre au nom de ce que j’étais vraiment, je retrouvais ma liberté d’être en me libérant de la peur de ne pas être aimé. 

Derrière la peur attendait toujours la liberté.

Il y a bien d’autres merveilleux chapitres à ce livre intérieur, chapitres à vivre et non simplement à lire, mais la conclusion le résume fort bien : « Derrière la peur se cache la liberté…! »

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24 avril 2013 3 24 /04 /avril /2013 07:04
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21 avril 2013 7 21 /04 /avril /2013 07:26

Transformez votre vie en décidant de vous sentir bien, de voir le bon côté des choses, de cultiver l'optimisme. Se sentir bien est aussi un choix, et c’est un choix qui est bon pour vous, pour votre corps, pour votre santé, votre entourage.

Voici quelques solutions pour changer de vie avec la pensée positive.

Changer de vie avec la pensée positive


. Prenez soin de vous

Tout commence par là. Prenez soin de votre corps, en le nourrissant convenablement, en dormant suffisamment, en pratiquant des exercices physiques réguliers, en vous relaxant régulièrement.

Votre corps est votre véhicule, votre lieu de résidence principal, ne le laissez pas se détériorer.


. Entourez-vous de personnes positives, d’énergies positives

Ces gens qui vous font rire,qui vous font vous sentir bien, qui vous donnent l’impression que vous refaites le plein à chaque fois que vous les fréquentez sont ceux dont vous devez chercher la compagnie. Tout comme la négativité, l'esprit positif est contagieux, autant chercher à obtenir ce qui vous est le plus profitable, le plus agréable.

 

. Surveillez-vous

Dans quel état êtes-vous lorsque vous accomplissez vos tâches habituelles ? Il est important de prendre garde à votre état d’esprit dans ces moments pour savoir un peu mieux si vous êtes dans un état positif ou si vous devez agir pour l’atteindre. Vous ne le saurez jamais si vous ne vous accordez pas un peu d’attention.


. Changez de point de vue

La pensée positive doit souvent se frayer un chemin dans les esprits les plus volontaires, parce qu’ils ont pris l’habitude de cultiver la négativité, de voir en noir, de déceler les moindres défauts et de ne plus voir que cela. Changez de point de vue, adoptez une vision positive, cessez de ne voir que ce qui cloche, apprenez aussi à découvrir et apprécier ce qui fonctionne.

Pensez à ce que vous pouvez faire plutôt qu’à ce que vous ne pouvez pas faire.

Utilisez les affirmations plutôt que les négations. Vous prendrez ainsi l’habitude de penser en termes de possibilités plutôt qu’en terme de restrictions, de manques, etc.


. Faites travailler votre imagination

La pensée positive est aussi une visualisation positive.

Apprenez à mettre des images sur ce que vous dites, sur ce que vous voulez accomplir.

En vous imaginant agir, en pensant positif, vous reprogrammerez votre esprit pour qu’il travaille ainsi et vous en ferez une nouvelle habitude, profondément ancrée en vous.


. Méditez

En prenant le temps de voir en vous, de découvrir toujours plus profondément qui vous êtes, vous verrez à quel point la négativité est ancrée en vous. Vous discernerez aussi, après un peu de temps, que vous n’êtes pas cette négativité, qu’elle s’est surajoutée à vous mais que vous pouvez penser autrement.

Vous verrez aussi la personne que vous êtes, avec ses forces, ses faiblesses, son potentiel énorme.


Changer de vie avec la pensée positive, c’est d’abord changer de point de vue sur la vie. En apprenant à voir le bon côté des choses, vous ne faites pas fi des mauvais côtés, vous décidez simplement qu’ils ne sont pas les plus importants ou les seuls que vous envisagerez.

En choisissant la pensée positive, vous choisissez plutôt l’action, la possibilité, l’existence.

Fabien

 

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20 avril 2013 6 20 /04 /avril /2013 13:06
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19 avril 2013 5 19 /04 /avril /2013 18:07

Inverser le raisonnement dans son questionnement permet de se repositionner positivement et d'obtenir ainsi une réponse qui nous parle plus.

Par exemple, au lieu de vous demander : "Qu'est-ce qui me manque pour être heureux ?", 

demandez-vous plutôt : "Qu'est-ce que j'ai aujourd'hui qui me rapproche du bonheur ? "

Essayez, vous verrez la différence.

 

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