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14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 21:42

Les couples qu’ils forment se suivent et se ressemblent. Ils tombent toujours sur le même profil psychologique, quitte à en souffrir. Pourquoi leurs choix amoureux semblent-ils prédéterminés ? Et comment sortir de ce syndrome de répétition ?

Aurore Aimelet 

À 31 ans, Éva ne tombe amoureuse que d’« abonnés absents, voyageurs au long cours ou bourreaux de travail ». Antoine, 44 ans, a déjà épousé trois femmes « plus ou moins dépressives, dont il fallait toujours s’occuper ». Ces deux-là se ressemblent, à une tristesse près. Si, pour Éva, ce penchant « relève de l’anecdote », Antoine rêve maintenant de « vivre une relation de partage, sereine et harmonieuse ». La répétition est-elle inévitable ?

Des croyances bien ancrées

Première réalité : sortir de ses habitudes n’est jamais facile. « Au fil de son histoire, chacun développe un système de croyances qui aura une influence directe sur son comportement », explique le psychiatre Jean Cottraux. L’idée qu’un homme « doit » être actif par exemple, ou la thèse selon laquelle il « faut » s’occuper des autres sont au cœur de nos choix. « Liées à notre éducation, notre environnement socioculturel, nos expériences passées, ces pensées devenues automatiques sont des repères inamovibles », poursuit le médecin. Et nous font répéter ce que nous connaissons déjà.

Pour ces frileux du changement amoureux, modifier ses croyances, sortir des sentiers battus, reviendrait à aller vers l’inconnu. Et l’inconscient s’y oppose ! « Nos schémas cognitifs sont inscrits dans le psychisme et nous poussent instinctivement vers ce qui est identifié comme une chose à laquelle nous pouvons nous adapter, avec laquelle nous savons vivre, voire survivre », analyse Jean Cottraux. En la matière, chacun possède ses références : les couples que nous avons précédemment formés, en particulier le premier d’entre eux, ou encore celui de nos parents…


Un passé à réparer

« Inconsciemment, nous sommes tous marqués par le couple que formaient nos parents », remarque la psychanalyste Sophie Cadalen. Le cliché selon lequel les filles « tombent amoureuses de papa » et les garçons « veulent épouser maman » aurait-il du sens ? « Pour certains, cette fidélité aux figures de la mère ou du père rassure et légitime ce qu’ils ont vécu », répond la psychanalyste. Pour Éva, c’est une façon de justifier l’amour que lui portait son père malgré le fait qu’il ait été absent. Pour Antoine, une raison de croire à l’amour de sa mère malgré la maladie dont elle souffrait qui la tenait loin de lui. Et lorsque le passé est synonyme de blessure – manque de reconnaissance paternelle pour elle, de tendresse maternelle pour lui –, l’impératif, même inconscient, est de le soigner. « Recréer un couple qui ressemble à celui de ses parents, c’est se donner l’occasion de guérir de sa blessure d’enfant », indique Monique Fradot, psychothérapeute. Ainsi, pour guérir, Éva tente-t-elle peut-être de ramener son compagnon à la maison. Quant à Antoine, si sa compagne va mieux grâce à lui, c’est lui qui ira mieux.


Une difficulté à (s’)aimer

Pourtant, le défi que ces doux entêtés veulent relever est sans fin. Soit ils échouent et quittent leur partenaire, soit ils remportent le challenge, puis s’en vont pour accepter d’autres « missions ». « Le véritable enjeu n’est pas de guérir l’autre, mais de se guérir soi, insiste la psychothérapeute. De s’aimer soi et de se reconnaître de la valeur en dehors de l’autre. » Sans avoir à s’occuper de tout quand son compagnon n’est pas là, pour Éva. Sans ce besoin viscéral d’être indispensable à sa compagne, pour Antoine. « Victime, sauveur ou bourreau : se confiner dans un rôle, c’est aussi enfermer l’autre dans celui qu’on lui a assigné », reconnaît Monique Fradot. Celui qui nous convient et qui conforte le nôtre. Dans ce scénario immuable, le premier rôle est pour nous, le second est pour l’autre. Et cet autre redevient immanquablement simple figurant.



Que faire ?

« Ne considérez pas ces attirances comme une malédiction, voire une maladie, nous avons tous un type d’homme ou de femme. Mais pour vous aider à y voir clair, remontez le cours de votre histoire. Enfant, quel rôle teniez-vous dans votre famille ? Aujourd’hui, vous sentez-vous libre de ne plus l’endosser ou, au contraire, de ne plus le rejeter ? L’amour vrai est plus fort que le passé, or c’est au présent que nous pouvons guérir. »

« Demandez-vous ce que vous gagnez à répéter le même scénario. Il ne s’agit pas de devenir le coupable, mais bel et bien l’acteur de votre relation ou de celles à venir. Interrogez-vous : quel est mon intérêt à moi, en termes de reconnaissance, de valorisation, de droit à une place dans le couple ? Notez-le noir sur blanc, au besoin. Car le cercle interrompt sa course dès lors qu’il n’est plus bénéfique, profitable pour soi, au sens propre. »


Comment ils s’en sont sortis

Stéphanie, 39 ans
« Longtemps, j’ai été amoureuse d’hommes menteurs, agressifs et manipulateurs. Sans vraiment savoir pourquoi. Bien sûr, il y avait cette blessure de l’enfance, le comportement incestueux de mon père, un secret de famille… Mais je ne faisais pas le lien. Pourtant, il y a deux ans, quand j’ai osé dire la vérité et affronter mes parents, je me suis sentie soulagée d’un poids immense. Libérée et libre de rencontrer un homme différent. Ce qui est arrivé. »

Mathieu, 38 ans
« Dès mes premières relations, je ne suis tombé amoureux que de femmes indisponibles : femmes mariées, vivant à l’autre bout du monde ou travaillant vingt-quatre heures sur vingt-quatre… Il y a deux ans, un nouvel échec m’a plongé dans une profonde déprime. Un ami m’a alors convaincu de rester célibataire quelque temps, “pour voir”… Ça ne m’était jamais arrivé ! J’ai tenu plus d’un an. J’ai pris le temps de réfléchir à ce que je cherchais à faire de ma vie – de couple, notamment. Cela m’a aidé à y voir plus clair dans mes besoins et mes attentes. Il y a six mois, une “vieille” amie m’a invité à dîner. C’est une fille que je ne regardais même pas auparavant tant elle était… disponible ! Nous allons bientôt nous installer ensemble. »

Psychologie

 

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Published by rendezvousbienetre
14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 21:40

La durée moyenne d'une étreinte entre deux personnes est de 3 secondes. Mais, les chercheurs ont découvert quelque chose de fantastique !!!

Lorsqu'une étreinte dure 20 secondes, elle produit un effet thérapeutique sur le corps et sur l'esprit. 

La raison est qu'un câlin bien senti produit une hormone appelée "ocytocine", aussi appelée l'hormone de l'amour. 

Cette substance possède de nombreux bienfaits pour notre santé physique et mentale, elle nous aide, entre autres à nous détendre, à nous sentir en sécurité et à apaiser nos peurs et notre anxiété. 

Ce merveilleux tranquillisant nous est offert gratuitement chaque fois qu'on prend une personne dans nos bras, qu'on berce un enfant, qu'on caresse un chien ou un chat, qu'on danse avec notre partenaire, qu'on se colle près de quelqu'un ou qu'on tient simplement un collègue par les épaules. Aujourd'hui, prenez quelqu'un dans vos bras pour 20 secondes, c'est le plus cadeau que vous pouvez vous faire et faire aux autres !

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9 février 2013 6 09 /02 /février /2013 07:35

Jusqu'à quel point êtes-vous heureux et pourquoi ? 

C'est une question à laquelle j'ai consacré pas mal de temps, non seulement parce qu'elle concerne ma propre évaluation du bonheur, mais aussi ma famille, mes amis et les personnes avec lesquelles je travaille. Depuis que j'ai obtenu mon diplôme de psychologie positive, j'ai travaillé avec des milliers de gens dans des circonstances très différentes, je les ai observés et j'ai pu constater que les gens heureux ont une façon qui leur est propre d'aborder la vie. Voici ce en quoi ils agissent différemment :

 

1.Ils s'entourent d'un fort tissu social

Les gens heureux sont connectés à leurs familles, leurs voisins, leurs lieux de culte et leurs communautés. Ces connexions agissent comme un tampon contre la dépression et créent des liens forts et importants. Le taux de dépression a augmenté dramatiquement durant les 75 dernières années. 
L'Organisation mondiale de la Santé prévoit que d'ici 2020, la dépression sera la seconde cause de décès dans le monde, touchant près d'un adulte sur trois. Bien que plusieurs raisons peuvent probablement expliquer cette augmentation, l'une des plus importantes pourrait être la déconnexion des gens avec leurs familles et leurs communautés.

 


2.Ils s'engagent dans des activités qui conviennent à leurs forces, à leurs valeurs et à leur façon de vivre

Quand on parle de stratégies du bonheur, il n'y a pas qu'une solution qui convienne à tous. De la même façon que vous adaptez vos exercices à votre objectif sportif, les gens heureux agissent en fonction de leurs buts émotionnels. Certaines stratégies connues pour améliorer la joie de vivre me paraissent un peu trop mièvres, mais celles qui marchent le mieux me permettent d'exercer ma bienveillance, d'exprimer ma gratitude, et de m'engager complètement. Le Dr Sonja Lyubomirsky propose dans son livre Comment être heureux et le rester, un merveilleux test d'auto-évaluation permettant de sélectionner les stratégies les plus adaptées à votre tempérament et à vos valeurs.

 

3. Ils expriment leur reconnaissance

La gratitude fait du bien au corps. Elle vous aide à mieux gérer le stress et les traumatismes, améliore l'amour propre et l'estime de soi quand vous réalisez combien vous avez déjà accompli, et aide souvent à chasser les émotions négatives. Des recherches ont également indiqué des corrélations entre l'expression d'une force de reconnaissance et le sentiment de satisfaction pour sa vie.

 


4. Ils abordent la vie de manière optimiste

Les gens heureux contiennent leurs tendances pessimistes de trois façons. Tout d'abord, ils concentrent leur temps et leur énergie sur ce qu'ils peuvent contrôler. Ils savent comment passer à autre chose si certaines stratégies ne fonctionnent pas ou s'ils ne peuvent pas contrôler une chose en particulier. Ensuite, ils sont conscients que « ça aussi, ça va passer ». Les gens heureux savent serrer les dents face à l'adversité car ils ont compris que si la vie ne peut pas être un long fleuve tranquille, les aléas ne durent pas. En fin de compte, les gens heureux sont doués pour compartimenter leurs vies. Ils ne permettent pas qu'un problème dans un domaine ne viennent contaminer le reste de leur existence.

 


5. Ils savent que c'est bien de faire le bien

Les gens heureux aident les autres en faisant du volontariat. Des recherches ont montré un lien profond entre un comportement altruiste et le bien-être, la santé et la longévité. Agir de façon bienveillante vous permet de vous sentir bien par rapport à vous-même et aux autres, et les émotions positives qui en résultent améliorent votre résistance physique et psychologique. Une étude a suivi cinq femmes ayant souffert de sclérose en plaques durant trois ans. Ces femmes se sont portées volontaires pour soutenir 67 autres personnes souffrant de cette même maladie. Les résultats ont montré que ces cinq volontaires ont connu des changements positifs qui se sont révélés plus importants que les améliorations expérimentées par les patients qu'elles avaient soutenues.

 


6. Ils savent que les richesses matérielles n'occupent qu'une petite part de l'équation

Les gens heureux considèrent de façon saine la joie que pourraient leur apporter des possessions matérielles. Dans son livre Comment être heureux et le rester, Lyubomirsky explique qu'en 1940, la proportion d'Américains déclarant être « très heureux » était d'environ 7,5 sur 10. Or, à combien estimez-vous cette proportion aujourd'hui, avec les iPods, la télévision couleurs, les ordinateurs, des voitures plus rapides, et un revenu qui a plus que doublé ? 7,2. Non seulement les biens matériels ne font pas le bonheur, mais ce sont même d'importants facteurs de mécontentement. Une étude a observé l'état d'esprit de 12.000 élèves en première année universitaire, âgés de 18 ans, puis les a interrogés sur leur état de satisfaction par rapport à leur vie lorsqu'ils avaient 37 ans. Ceux qui avaient exprimé des aspirations matérialistes à 18 ans étaient moins satisfaits de leurs vies vingt ans plus tard.

 


7. Ils ont développé de saines stratégies pour gérer les aléas de la vie

Les gens heureux rencontrent des épisodes stressants dans leurs vies mais ils ont mis au point des stratégies gagnantes pour les surmonter. Savoir rebondir après un traumatisme fait partie des changements positifs personnels résultant de quelqu'un s'efforçant de gérer des événements existentiels très difficiles. Selon les chercheurs Tedeschi et Calhoun, il y a 5 facteurs d'amélioration après la gestion d'un événement difficile : une façon renouvelée d'apprécier la vie, la découverte d'autres manières d'aborder la vie, une plus grande force personnelle, de meilleures relations avec autrui et un essor de la spiritualité. Les gens heureux deviennent doués pour voir le bien pouvant résulter de moments difficiles.


8. Ils se concentrent sur la santé

Les gens heureux prennent soin de leur corps et de leur esprit et savent gérer leur stress. Se concentrer sur sa santé ne se limite pas cependant à faire de l'exercice. Les gens heureux agissent en fait comme des gens heureux. Ils sourient, ils s'investissent dans les choses et apportent un niveau optimal d'énergie et d'enthousiasme à ce qu'ils font.


9. Ils cultivent leurs émotions spirituelles

Selon Lyubomirsky, de plus en plus de chercheurs suggèrent que les personnes croyantes sont plus heureuses, en meilleure santé et se remettent plus facilement d'un traumatisme que les personnes laïques. De plus, les auteurs Ed Diener et Robert Biswas-Diener expliquent dans leur livre Happiness: Unlocking the Mysteries of Psychological Wealth, que les émotions spirituelles sont essentielles à la richesse psychologique et au bonheur, car elles nous aident à nous connecter avec ce qui nous dépasse.

10. Ils savent où ils vont

Avancer dans le but d'avoir une vie qui ait un sens est l'une des stratégies les plus vitales utilisées par les gens heureux. J'ai sous-estimé l'importance du sens de la vie quand j'étais avocate, mais c'est devenu évident pour moi lorsque je me suis retrouvée au bout du rouleau. Selon Diener et Biswas-Diener, les gens heureux ont des valeurs auxquelles ils tiennent et ont des résultats qui valent la peine qu'on se donne du mal pour les obtenir.

A mesure du temps qui passe, les gens heureux ont développé un éventail spécifique de stratégies qui leur fait voir la vie différemment - un éventail équilibré entre compétences et émotions. 

Et vous, qu'ajouteriez-vous à cette liste ?

Paula David Laack
Avocate reconvertie en experte du traitement du stress

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Published by rendezvousbienetre
9 février 2013 6 09 /02 /février /2013 07:15

On est généralement porté à croire qu’il est préférable de ne jamais avoir peur. Pour cette raison, plusieurs d’entre nous ne veulent même pas admettre avoir des peurs, ce qui permet à ces peurs de diriger notre vie.

Lorsque c’est une peur véritable, issue par exemple d’un accident ou d’une rencontre avec un animal dangereux, elle est utile puisqu’elle vous aide à accélérer votre système de défense physique ainsi que votre état émotionnel et mental pour pouvoir y faire face. Que vous choisissiez d’affronter ou de fuir la cause de votre peur, vous avez besoin de cette énergie supplémentaire générée par le surplus d’adrénaline que votre corps produit.

Hélas! la grande majorité des peurs que nous vivons sont irréelles, c’est-à-dire qu’il n’y a pas de réel danger au moment où on l’a. Cela dit, ce genre de peur peut vous aider à devenir conscient de quelque chose que vous désirez puisque derrière toute peur il y a un désir caché.

Supposons que vous ayez peur de manquer d’argent. À cause de cette peur, vous vous inquiétez, vous refaites votre budget sans arrêt, vous vous plaignez, vous dormez mal parce que vous êtes stressé, etc. Pour découvrir le désir qui se cache derrière votre peur, demandez-vous ce qu’elle vous empêche d’avoir, de faire et surtout d’être. Votre réponse vous indiquera ce que vous désirez mais surtout ce dont vous avez véritablement besoin (le « être »). Disons que vous avez répondu qu’elle vous empêche de vivre votre moment présent dans la joie et calmement, cela signifie que votre âme ainsi que tout votre être souhaitent être calmes dans la situation présente.

Votre Dieu intérieur vous indique que ce n’est pas la situation qui vous fait peur, mais que c’est plutôt votre façon de la percevoir ainsi que votre manque de confiance en vous et en l’Univers qui l’alimentent. Il en va ainsi pour toutes les peurs, sans exception.

Une autre utilité à la peur est qu’elle vous permet de dépasser certaines de vos limites. Pour y arriver cependant, vous devez passer par l’étape de l’acceptation. Je vous rappelle que l’enseignement d’ÉCOUTE TON CORPS vous invite toujours à accepter et à accueillir tout ce qui se présente dans votre vie, que ce soient des situations agréables ou non. C’est le seul moyen pour arriver à vous diriger vers ce que vous voulez.

Accueillir votre peur ne signifie pas être d’accord avec elle ni même la comprendre. On peut accueillir une situation ou une personne même si on ne la comprend pas ou qu’on n’est pas d’accord avec elle. Supposons que vous craignez votre patron pour lequel vous travaillez depuis plus d’un an. Jusqu’à présent, vous n’avez pas réussi à lui faire vos demandes ni à lui dire ce que vous ressentez face à son injustice au travail. Votre peur à son égard vous tenaille sans arrêt. Malgré le fait que vous aimez votre travail, votre peur vous empêche d’apprécier les moments passés au travail au point d’en devenir une obsession puisque vous pensez de plus en plus souvent à tout ce que vous voudriez lui dire, sans jamais agir.

Lorsque vous vous accueillerez en sentant que c’est le petit enfant en vous qui a peur, une transformation s’opérera en vous. Quand on a peur, on est dans le noir ; quand on accueille une situation, on est dans la lumière. Cette lumière vous permet de voir certaines choses. Ce patron vous rappelle peut-être un ancien professeur avec qui vous viviez la même chose ou votre père qui était exigeant face à votre réussite scolaire ou professionnelle.

Accueillir vous permet aussi de ressentir davantage. En prenant conscience de la blessure de rejet qui vous habite et qui vous fait si mal parce que vous vous dénigrez et que vous vous accusez de ne pas être capable de prendre votre place, la transformation en vous sera d’autant plus importante.

Si vous croyez que quelqu’un vous rejette, sachez que cette personne ne fait qu’exprimer ses limites et que vous faites la même chose. Donc, lorsque vous vous rejetez, vous ne faites qu’exprimer votre limite. Vous accepter signifie vous accueillir dans le fait que faire face à une personne telle que votre patron est au-delà de vos limites et ce, sans vous juger ni vous accuser de quoi que ce soit. Ayez tout simplement de la compassion pour le petit enfant en vous qui a peur depuis longtemps. Cette attitude vous aidera à repousser vos limites. Accueillir votre peur la fera diminuer et vous donnera le courage d’aller vers ce que vous voulez. Je sais qu’il est difficile d’accepter le fait que lorsque nous disons OUI à une situation désagréable, celle-ci commence à se transformer. Mais quand on dit NON et qu’on veut changer cette situation, elle ne change pas et empire avec le temps.

Pourquoi est-ce si difficile d’accepter cette façon de voir les choses ? Parce que c’est une donnée de la dimension spirituelle et que notre mental ne peut comprendre ce qui en découle. Notre mental ne doit pas diriger notre vie. Il doit plutôt être AU SERVICE de notre dimension spirituelle, c’est-à-dire répondre aux besoins de notre être.

Une fois la peur acceptée, vous pourrez éventuellement y faire face et découvrir que vous avez des forces et des capacités qui vous étaient inconnues auparavant. C’est ce que je vous souhaite en ce début d’année. Si vous n’avez pas pris de résolution pour 2013, vous pourriez DÉCIDER D’ACCUEILLIR AU MOINS UNE PEUR PAR SEMAINE tout en vous donnant le temps d’y faire face.

Je vous souhaite une ANNÉE 2013 REMPLIE DE JOIE, D’AMOUR ET DE BONHEUR.

Avec amour,

Lise Bourbeau

 

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8 février 2013 5 08 /02 /février /2013 12:43


Avez-vous la peur du « regard des autres » ? Avancez-vous dans la vie avec la crainte de ne pas être accepté ? Évitez-vous certaines situations sociales de peur de ne pas y trouver votre place ?
Rassurez-vous, vous n’êtes pas seul !

La plupart des gens vivent avec ce sentiment. Beaucoup se sont résignés à limiter leur « expérience de vie » pour éviter le risque d’être confronté au (sentiment de) rejet.
D’autres, comme vous, ont décidé de ne plus être victime et d’agir.

Mais intéressons-nous d’abord à ce qu’est le « rejet social« .

Rejet social

Nous parlons de rejet social lorsqu’il y a « exclusion délibérée d’une relation ou d’une interaction sociale ».

La sensation éprouvée par une telle exclusion peut être extrêmement douloureuse. Dans sa définition des 6 besoins humains, Tony Robbins qualifie la nécessité d’être accepté par son groupe d’appartenance comme un besoin vital.

Certains lui donnent une origine anthropologique.
Du temps de nos lointains ancêtres, la vie était organisée de manière tribale. La survie d’un individu reposait sur son appartenance au groupe (nourriture, territoire, famille, guerre, …). Se retrouver exclu de sa tribu signifiait une condamnation à mort.
Cette peur d’être exclu de la tribu a survécu à travers le temps. Elle reste profondément ancrée dans notre inconscient. C’est cette même peur qui régit nos comportements de tous les jours.
Elle explique notre réticence à nous exposer au risque de rejet de l’autre.

Observez par exemple : lorsque vous discutez avec vos proches (amis ou famille), vous n’éprouvez aucun stress à converser. Normal, vous êtes au sein de votre groupe d’appartenance. Vous avez inconsciemment l’assurance d’être accepté.

En revanche, que se passe-t-il lorsque vous devez converser en dehors du cercle de vos amis ? La tâche s’avèrera un peu plus périlleuse puisqu’il y a une exposition au risque de rejet et inconsciemment au bannissement de la « tribu sociale » (la société).

Cette origine évolutionniste est fondamentalement intéressante pour comprendre les fondements de notre peur. Elle permet d’identifier et de surtout de relativiser l’origine de cette peur jusqu’alors incontrôlable.

Voyons à présent de quelle manière nous allons pouvoir nous en libérer.

Gérer l’angoisse du rejet

S’il y une chose qu’il nous faut retenir c’est le caractère irréel de cette peur. Comme l’indique Antony Robbins, la peur (« fear ») n’est rien d’autre qu’une fausse évidence qui semble réelle (« false evidence that appears real ») autrement dit il s’agit d’une expérience totalement subjective.

Vous comprendrez aisément que la démarche à suivre consiste à accepter la responsabilité de cette peur (on en revient à ma règle n°1).
C’est à vous d’agir !

De nombreux sociologues se sont penchés sur le thème et on peut distinguer deux écoles de pensées :

Désensibilisation à la peur du rejet par la confrontation

La peur n’est qu’un manque d’expérience vis-à-vis de la situation rencontrée. Rappelez-vous vos premières fois !
La première fois que vous êtes allé à l’école, la première fois que vous avez conduit, … Ce sont autant de situations qui ont pu vous angoisser par le passé mais qui aujourd’hui, après les avoir maintes fois vécues, vous semblent faciles.
L’idée est donc de vous immuniser contre la peur, en vous y confrontant de manière répétée.


Le rejet n’existe pas : réinterprétons le

Il s’agit de réaliser que le concept même du rejet est absurde. En se disant rejeter, nous réalisons une interprétation totalement subjective de l’évènement.

Prenons un exemple farfelu (comme je les aime).
Si je me présente à l’élection présidentielle et que je ne suis pas élu, je peux me dire :
a. je n’ai pas été élu, je suis donc un incapable
b. les électeurs sont des idiots, quel dommage pour la nation !
c. j’apprends de cette expérience pour savoir mieux « vendre » ma candidature la prochaine fois

Aucune de ces 3 réponses ne constituent une vérité absolue.

L’homme a ceci de prodigieux qu’il est capable de pouvoir modifier par lui-même ses croyances.
Le choix de la ré-interprétation d’un évènement nous appartient. Puisque nous pouvons choisir, pourquoi ne pas le faire pour en tirer des conséquences positives ?
Remarquez que la réponse c. constitue ce qu’on appelle un « reframing » (je détaillerai cette merveilleuse technique au cours d’un prochain article).

Ok nous avons vu les deux grands courants de pensées. Mais au final comment gérer la peur du rejet ?

La solution à la peur du rejet
Il serait vain de choisir d’appliquer soit la désensibilisation, soit la ré-interprétation de manière exclusive.

La confrontation à outrance au lieu de désensibiliser mène au traumatisme.

Prenons l’exemple de Pierre.
Abonné depuis des années à un site de rencontre en ligne, Pierre a fait de nombreuses rencontres. Hélas, toutes se sont soldées par un échec. S’il continue à appliquer sans réfléchir le principe de désensibilisation, Pierre risque vite de déprimer. Ses multiples rejets vont lui faire perdre confiance. Cette perte de confiance va entretenir et même développer sa crainte du rejet lesquelles inévitablement provoqueront de nouveaux rejets … la boucle est bouclée.

La ré-interprétation systématique, elle, revient à vivre totalement déconnecté, dans un monde illusoire.

Pierre se dit que toutes ces filles ne réalisent pas la chance qu’elles auraient d’être avec lui.
Cette interprétation des faits purement subjective a le mérite de faire endurer moins de souffrance pour qui la pratique. Toutefois, sur le long terme, elle n’est pas viable, un beau jour Pierre prendra conscience de l’illusion dans laquelle il se projette et des rejets dont il est l’objet.

Et la solution dans tout ça ?

Il manque un ingrédient indispensable : l’Intelligence sociale mon ami(e).

Pour enrayer cette peur du rejet, le travail se fait à deux niveaux.



Un travail sur soi

On parle d’Innergame. Il s’agit de prendre conscience de son Identité, de ses forces (et de ses faiblesses). C’est à ce niveau que la technique de reframing prend tout son sens. Vous construisez votre réalité !

Vous êtes l’artisan de votre vie et de votre capacité à interagir avec les autres.
Quelles sont vos qualités ? En quels termes vous vendriez-vous ? Quelle valeur pensez-vous apporter aux personnes qui vous côtoient ?
Prenez le temps d’écrire les réponses à ces questions. Savourez-les, gardez les constamment à l’esprit, soyez fier de qui vous êtes et de ce qui vous caractérise.



Une application pratique

Ce sont en quelque sorte vos travaux pratiques. Aussi intenses que soient vos travaux sur l’Innergame. Si vous ne confrontez pas votre réalité au monde réel, vos efforts seront vains.
Attention, il s’agit de se confronter progressivement à ses peurs, ce qu’on appelle une désensibilisation progressive.

L’idée est d’aller vers les autres avec la simple idée d’apporter de la valeur.
Si cela se passe bien, réalisez pourquoi et reproduisez ce que vous avez fait.
Si cela se passe mal, inutile de se lamenter, vous pouvez au contraire être fier pour avoir pu surmonter et affronter votre peur.
Soyez reconnaissant de la tournure des évènements. Vous venez d’expérimenter quelque chose qui ne fonctionne pas. Et cela ne remet en question ni votre identité ni votre valeur.

Réessayez encore. Le cas échéant utilisez votre intelligence sociale (qui s’acquière très vite par la pratique) pour changer votre approche.

Vous devez avant tout prendre du plaisir à interagir avec les autres !
Quand vous vous retrouvez confronté à une situation de rejet ou de peur du rejet, commencez par vous demander si vous vous sentez être à la hauteur de la situation ?
Si ce n’est pas le cas, le travail sur soi est alors un préalable.
Quoiqu’il arrive, agissez et apprenez de vos expériences.

Olivier

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Published by rendezvousbienetre
8 février 2013 5 08 /02 /février /2013 12:37

1. N’accordez aucune importance à l’opinion des gens qui se permettent de vous critiquer. Votre réalité extérieure concernant votre travail, votre santé et vos relations interpersonnelles va toujours être le reflet de votre réalité intérieure.

2. Apprenez à vous en faire moins par rapport à l’opinion que les autres ont de vous. Appréciez-vous à votre juste valeur et dites-vous que personne ne peut vous faire sentir inférieur sans votre consentement.

3. Ce n’est pas ce que les gens disent ou pensent de vous qui importe, mais plutôt l’interprétation que vous en faites. Plus de 95% de vos émotions sont attribuables à votre façon d’interpréter les événements de votre vie.

4. C’est votre image personnelle seulement, pas celle des autres, qui déterminera les limites de vos accomplissements futurs.

5. Ne vous comparez pas aux autres. N’évaluez vos réalisations qu’en les comparant à votre rendement passé ou à votre potentiel.

6. Évitez et fuyez les personnes négatives à tout prix. Elles sont les plus grandes destructrices de confiance en soi.

7. Notez soigneusement vos succès. Quand vous éprouverez du rejet ou de la critique et que vous vous sentirez déprimé, relisez-les !

8. Soyez heureux d’être critiqué, car c’est la preuve que vous accomplissez quelque chose d’important et de méritoire.

9. Dites-vous que les seules personnes qui échappent à la critique sont celles qui ne disent rien, qui ne font rien et qui ne sont rien !

10. Dites-vous que les gens qui aiment critiquer les autres sont, la plupart du temps, des gens qui manquent de confiance en eux. Ils essaient ainsi de se rehausser en rabaissant les autres.

11. Les monuments sont érigés à la mémoire de ceux qui se font critiquer et non de ceux qui ont critiqué.

12. Cessez de vous en faire de ce que les autres pensent de vous car le fait est qu’ils ne pensent probablement pas à vous car ils sont trop préoccupés à penser à eux-mêmes !

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7 février 2013 4 07 /02 /février /2013 20:48

Les causes de stress autour de nous ne manquent pas : au travail, en voiture, dans nos relations interpersonnelles, en famille, etc. Pour remédier à toutes ces tensions, un bon moyen consiste à faire de notre lieu de vie un véritable havre de paix. En effet, on ne peut rien changer au monde extérieur, mais il existe plusieurs actions simples à poser afin d'appeler le calme et la tranquillité dans notre demeure.

On purifie notre environnement
Parfois, nous sommes tellement habitués à vivre dans le désordre que nous ne nous rendons même pas compte que celui-ci influence grandement notre état d'esprit. Ainsi, la toute première question à se poser est « Est-ce que ma maison, mon appartement est généralement bien rangé ? » Nous ne parlons pas ici du désordre ponctuel (et normal) présent dans la cuisine après avoir préparé un gros repas ou des jouets qui traînent dans les chambres des enfants...

Dans une société de consommation telle que la nôtre, il n'est pas rare d'accumuler un grand nombre d'objets... inutiles! Ainsi, le chaos ambiant peut créer un désordre interne, ou, du moins, nous empêcher de relaxer totalement lorsqu'on est chez soi.

Quelques trucs pour remédier à cela

 
Épurer

- On fait du tri dans ses affaires, on ne garde à la vue que les choses qui sont régulièrement utilisées ou qu'on souhaite absolument exposer (une belle collection de bibelots, par exemple).

- On ne garde que les meubles nécessaires : pas besoin de 3 divans dans le salon si on est seulement 3 à vivre dans l'appartement. Parfois, se débarrasser de quelques gros objets crée instantanément une atmosphère plus calme et agréable.

- On évite de surcharger les murs avec plein de grands tableaux : il vaut mieux choisir quelques images qui ont une signification particulière et leur trouver une place de choix.



Organiser

- Bien sûr, on ne peut pas se débarrasser de tout... Alors, on prévoit assez de rangement : tablettes, bibliothèques, coffres, etc.

- Il est toujours intéressant de choisir une place pour chaque famille d'articles : un tiroir pour les factures, une tablette pour les romans et une autre pour les livres de référence, un placard pour les serviettes de toilette... On évite de tout mélanger partout dans la maison, parce que c'est le meilleur moyen de piquer une crise le jour où vous ne vous rappellerez plus où est cette chose dont vous avez absolument besoin, et tout de suite!

- Au risque d'en surprendre plusieurs, ce n'est parfois pas mauvais de « camoufler » un peu le désordre. Il existe des boîtes décoratives en carton de dimensions diverses : on s'en sert pour entreposer la tonne de photos papier qu'on n'a pas encore triées, les articles de bricolage et les outils, le matériel de couture, etc. Plusieurs boîtes bien agencées entre elles et avec votre décor donneront du chic à votre espace de vie, contrairement à des piles négligées dispersées un peu partout. Dans le même ordre d'idée, on achète quelques sacs plastiques à glissière pour ranger sous les lits les objets peu utilisés, on entrepose les accessoires de nettoyage dans un placard, etc.



Mettre des limites

- Si possible, on se garde une pièce « calme » dans la maison... À défaut d'une pièce complète, on arrange un petit coin lecture ou relaxation.

- On choisit certains moments (l'heure du souper, par exemple) où on ne parle que de choses agréables : on garde les problèmes et les conflits pour une autre occasion... Ça peut être 30 minutes après, mais au moins, on s'assure d'avoir quelques instants de répit et de tranquillité pour faire face à tous ces imprévus.


On chouchoute nos sens

Il est courant d'oublier que notre perception du monde extérieur est complètement dépendante de nos cinq sens. Très souvent, lorsqu'on utilise l'adjectif « sensuel », on n'envisage que l'expérience sexuelle. Et on s'empresse de faire appel aux chandelles, huile à massage, musique douce, etc. Pourquoi? Pour se sentir détendu et prêt à une soirée spéciale... Pourtant, nos sens peuvent être stimulés régulièrement et nous aider à nous détendre, grâce à de petits trucs simples.



La vue

- On choisit des couleurs apaisantes, appropriées à l'atmosphère de chaque pièce.

- On s'entoure d'images qui nous plaisent : des photos qui nous rappellent de bons moments et les personnes que l'on aime, des tableaux qui évoquent des situations calmes, etc.

- On préfère des accessoires apaisants : un peu de nature avec quelques plantes vertes et des fleurs.

- On choisit des éclairages non agressant : lampes à gradateurs, lumière jaune, chandelles, ampoules colorées, un aquarium éclairé.



L'ouïe

- On favorise un environnement auditif relaxant : musiques douces, etc.

- On n'hésite pas à acheter une fontaine zen dont le bruit de l'eau qui coule est très apaisant.

- On isole les murs, au besoin, pour ne pas entendre tout ce qui se passe chez les voisins d'à côté, ou tout simplement dans une pièce comme la chambre à coucher, pour s'assurer qu'elle reste toujours tranquille.

- On évite de laisser constamment la télé ou la radio allumée si on ne les écoute pas. Nous avons tous besoin de silence total à l'occasion.


L'odorat

- On vaporise des purificateurs d'air pour disperser les mauvaises odeurs persistantes.

- On place des petits sachets de lavande ou autre dans les placards.

- On place du pot-pourri à divers endroits stratégiques : dans le hall d'entrée, la salle de bain, etc.

- On n'hésite pas à profiter de tous les bienfaits de l'aromathérapie : huiles essentielles et diffuseurs.

- On fait brûler de l'encens à l'occasion pour une atmosphère feutrée et inspirante.


Le toucher

- On favorise des tissus qui créent une atmosphère chaleureuse : velours, chenille, fourrure, soie, etc.

- On aime les jetés sur les canapés, les coussins moelleux, les textures, les rideaux vaporeux.


Le goût

- Un beau panier de fruits sur la table de la cuisine, un plat de noix dans le salon... Avoir à la vue des bons produits (bons au goût et pour la santé) joue aussi un rôle pour notre bien-être intérieur.

Quelques conseils, pièce par pièce
D'abord, il faut savoir que chacun a une idée personnelle du confort... Ainsi, ce qui semble parfaitement relaxant pour quelqu'un pourra exaspérer son voisin. Les conseils ci-dessous ne sont donc qu'à titre indicatif... Libre à vous de choisir ce qui vous arrange et laisser faire ce qui vous déplait!


La cuisine

C'est le centre de la maison. On privilégie la chaleur et la simplicité. On évite les comptoirs surchargés de petits électroménagers qu'on utilise 2 fois par an. On s'arrange pour avoir assez d'espace de travail, quitte à acheter une grande planche à découper qu'on place sur la table, si la place fait vraiment défaut. On range à proximité les accessoires qu'on utilise très souvent (pas dans la quatrième étagère, tout en haut, ce qui nous oblige à sortir l'escabeau 3 fois par semaine). On se débarrasse de tous les gadgets inutiles qui encombrent la vue.


La chambre à coucher

C'est LA pièce qui doit assurément être paisible et relaxante. On choisit des couleurs claires et apaisantes. On s'assure de ne pas « engorger » nos espaces de rangement : on effectue pour cela une rotation été-hiver de tous nos vêtements. On se débarrasse de tout ce qu'on ne porte plus. On favorise des éclairages tamisés. On choisit des textiles doux et enveloppants.



La chambre des enfants

En plus des conseils précédents, on s'assure que la chambre est facile à ranger, pour pouvoir la remettre en ordre chaque soir (ou presque) avant l'heure du dodo. Pour cela, on achète des boîtes de rangement de diverses couleurs et grandeurs, facilement empilables ou qu'on peut glisser sous le lit. Vos chérubins n'en dormiront que mieux, et si par hasard, ils vous appellent en pleine nuit, vous serez ravi de ne pas vous écraser un orteil sur un bloc égaré! Et une raison de moins de sacrer !



Le salon

C'est le lieu de détente de toute la famille. On s'arrange pour ne pas y laisser traîner de revues, DVD, vêtements et autres objets. Assurez-vous d'avoir plusieurs sources d'éclairage qui s'adaptent à toutes les situations. Jouez avec les couleurs afin de créer un espace qui vous ressemble. Choisissez soigneusement vos accessoires de décoration : ils doivent magnifier votre décor sans le surcharger.



La salle de bain

Nous sommes généralement pressés le matin, mais il ne se passe pas une journée sans que nous y fassions un tour! Alors, raison de plus pour porter une attention toute particulière à cette pièce. Bien souvent, c'est la dernière que nous choisissons de décorer, parce que cela ne semble pas primordial... Pourtant, c'est dans la salle de bain que nous prenons soin de notre corps. Et comme dit le dicton « un esprit sain dans un corps sain ». Ainsi, notre esprit serait probablement plus apte à faire face aux tensions si nous commencions chaque journée dans une oasis de paix. On s'inspire pour cela des spas et autres centres axés sur le bien-être intérieur : couleurs pastel ou chaudes, plantes suspendues, miroirs, chandelles, tapis et peignoirs épais, accessoire en bambou ou autres matériaux naturels. On s'assure également que les odeurs désagréables soient toujours maîtrisées...



En conclusion

Comme nous venons de le voir, il y a plein de petits gestes que nous pouvons poser, au quotidien, pour donner un peu de répit à nos nerfs. Un espace de vie confortable et apaisant joue un rôle primordial dans nos tensions quotidiennes. C'est vrai que nous ne pouvons pas faire grand-chose pour changer la luminosité criarde des néons au bureau, ni baisser le volume des klaxons pendant l'heure de pointe... Mais nous avons la possibilité de changer notre maison, notre appartement, pour y être toujours confortable, seul ou en famille! Profitons-en...

Cécile Moreschi, rédactrice Canal Vie.

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7 février 2013 4 07 /02 /février /2013 08:56

Une fille aveugle se détestait parce qu'elle était aveugle.
Elle haïssait tout le monde sauf son ami, un garçon. Il était toujours là pour elle. Un jour, elle lui dit:

« Si seulement je pouvais voir le monde, je me marierais avec toi. »

Un jour, quelqu'un lui a fait le don de ses yeux, un donneur anonyme.

Quand les bandages ont été enlevés, elle fût capable de tout voir incluant son ami le garçon. Il lui demanda:

« Maintenant que tu peux voir le monde, te marieras-tu avec moi ? »

La fille le regarda et elle vit qu'il était aveugle aussi.

La vue de ses paupières fermées la bouleversa. Elle ne s'attendait pas à ça.
La pensée de le voir ainsi pour le reste de sa vie la mena à refuser de le marier.
Son ami la quitta en pleurs et quelques jours plus tard lui écrivit une note qui disait :

« Prends bien soin de tes yeux, ma chérie, car avant qu'ils deviennent les tiens, ils étaient les miens. »


Réflexion :

Parfois nous avons tendance à oublier ce que nous étions, ce que nous avions, ce dont nous n’étions pas capable de faire… Et puis, parfois grâce à l’aide de quelqu’un d’autre ou d’un parcours pénible vers une réussite, on oublie… On oublie qu’avant de réussir, qu’avant le bonheur, nous avons dû parcourir un sentier parfois long, très long… Et on oublie que nous avions moins, que nous venions « d’en bas » et que des mains nous ont été tendues…

Quand notre état change, notre cerveau nous joue parfois de drôles de tours… ou est-ce simplement le manque de gratitude et d’humilité qui nous joue des tours?
Très peu de personnes on cette capacité à se souvenir ce qu'était la vie « avant ». Elles semblent avoir oublié les gens qui étaient à leurs côtés dans les situations les plus difficiles et douloureuses…

Un jour j'ai trouvé ce texte dont, malheureusement, je ne connais pas l'auteur. Je le trouve approprié pour conclure cet article. 

La vie est un Cadeau 
Aujourd'hui avant de dire un mot cruel — rappelle-toi de celui ou celle qui ne peut pas parler. Avant de te plaindre du goût de la nourriture — pensez à celui ou celle qui n'a rien à manger.

Avant de te plaindre de ton mari ou de ta femme — pense à celui ou celle qui implore Dieu pour un compagnon ou compagne. Et quand tu es fatigué (e) et tu te plains de ton travail — pense à celui ou celle qui n'a pas d'emploi, la personne handicapée et ceux et celles qui aimeraient avoir un travail. Et quand les pensées déprimantes semblent t'abattre — mets un sourire sur ton visage et pense que : tu es en vie et tu es encore là.

Votre partenaire dans l’optimisme.

Michel Poulaert

 

 

 

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7 février 2013 4 07 /02 /février /2013 08:52

Changez vos croyances pour changer votre vie !

Vos croyances fondamentales concernant votre personne et votre univers sont les principaux facteurs déterminants de votre réussite dans la vie.

En fait, c’est à vos croyances que vous devez l’univers dans lequel vous vivez.

Les croyances que vous entretenez résultent directement de vos pensées et aussi de celles que vous n’avez pas.

Les croyances sont des forces latentes, mais puissantes, dissimulées dans les profondeurs de votre esprit. A leur tour, ces croyances génèrent vos attentes quant à vos résultats futurs. Ces attentes sont des forces actives, à l’œuvre dans votre esprit.

Vos attentes déterminent votre attitude. Lorsqu’elle s’exprime, cette attitude modèle votre comportement. Examinez la relation de cause à effet qui suit afin de voir combien les croyances personnelles représentent le fondement de votre vie :

* Lorsque vous changez votre façon de penser, vous changez vos croyances.

* Lorsque vous changez vos croyances, vous changez vos attentes.

* Lorsque vous changez vos attentes, vous changez votre attitude.

* Lorsque vous changez votre attitude vous changez votre comportement.

* Lorsque vous changez votre comportement vous changez votre performance.

* Lorsque vous changez votre performance vous changez votre vie !

* Notez que vous ne pouvez changer votre vie en essayant de changer votre vie.

* Vous ne pouvez modifier votre performance en essayant de modifier votre performance.

* Vous ne pouvez changer votre comportement en essayant de changer votre comportement.

* Vous ne pouvez changer votre attitude en essayant de changer votre attitude.

* Vous ne pouvez changer vos attentes en essayant de changer vos attentes.

* Vous ne pouvez changer vos croyances en essayant de changer vos croyances.

Mais vous pouvez changer les images que vous entretenez dans votre esprit et qui représentent votre façon de penser. Cela provoquera des changements dans tous les autres secteurs de votre vie qui ont de l’importance à vos yeux.

Dr Walter Doyle Staples

 

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5 février 2013 2 05 /02 /février /2013 11:50

J'avais peur d'être seule, jusqu'à ce que...
J'ai appris à m'aimer moi-même.

J'avais peur de l'échec, jusqu'à ce que...
Je me suis rendu compte que j'échouais si je n'osais pas.

J'avais peur que l'on me repousse, jusqu'à ce que...
J'ai compris que je devais croire en moi-même.

J'avais peur de la douleur, jusqu'à ce que...
J'ai appris qu'elle était nécessaire pour grandir.

J'avais peur de la vérité, jusqu'à ce que...
J'ai découvert la laideur des mensonges.

J'avais peur de la mort, jusqu'à ce que...
J'ai appris qu'elle n'était pas une fin mais un commencement.

J'avais peur de la haine, jusqu'à ce que...
Je me suis rendu compte quelle n'était pas autre chose que de l'ignorance.

J'avais peur du ridicule, jusqu'à ce que...
J'ai appris à rire de moi-même.

J'avais peur de vieillir, jusqu'à ce que...
J'ai compris que je gagnais en sagesse, jour après jour.

J'avais peur de ce que les gens pensaient de moi, jusqu'à ce que...
Je me suis rendu compte que de toute façon ils auraient une opinion de moi.

J'avais peur du passé, jusqu'à ce que...
J'ai compris qu'il ne pouvait plus me blesser.

J'avais peur de l'obscurité, jusqu'à ce que...
J'ai vu la beauté de la lumière d'une étoile.

J'avais peur du changement, jusqu'à ce que...
J'ai vu que même le plus beau papillon devait passer par une métamorphose.

Que nos vies soient chaque jour plus riches, et si nous nous sentons défaillir...
N'oublions pas qu'à la fin, il y a toujours quelque chose de plus et de plus beau.

Auteur Inconnu

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