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28 décembre 2012 5 28 /12 /décembre /2012 08:49

Des synonymes : Détester, Abhorrer,  Exécrer 

Des exemples :

Je hais mon mari à chaque fois qu'il me méprise. 


Je hais les profiteurs du système et ceux qui font des lois qui les encouragent. 


Je hais les araignées. 

Qu'est-ce que la haine ? 

La haine est l'envers de l'amour. La haine est une colère intense doublée de désirs malveillants : on voudrait que l'objet de notre haine ne puisse nous avoir causé du mal impunément. C'est une manifestation d'insatisfaction à l'égard d'un être ou d'une situation qui détient un pouvoir sur notre satisfaction. 

La haine est une émotion vécue surtout par rapport aux humains. Il arrive aussi qu'elle soit suscitée par un animal : c'est la peur ou le mal qu'il nous a déjà fait qui alors la suscite. Lorsqu'il s'agit d'objets ou de situations, on parlera de détestation ou d'exécration plutôt que de haine. 


À quoi sert la haine ? 

La haine nous renseigne sur notre insatisfaction. L'insatisfaction peut être de différentes natures, allant de la simple frustration ("elle me prive de ce que je désire le plus au monde") à l'outrage ("elle m'a humilié en public") jusqu'à un tort subi (sa décision est à l'origine de ma débandade financière"). 

L'insatisfaction provoque habituellement des émotions de colère. Quelle différence y a-t-il entre la colère et la haine? 

Pour éprouver de la haine au lieu de la colère, il faut une certaine dépendance à l'égard de la source d'insatisfaction contre laquelle on en a.

Cette dépendance peut être de nature affective, financière, politique..., l'effet est le même: on est à la merci de l'autre.

L'épouse qui rage devant le mépris de son mari et qui le hait de la traiter ainsi réagit aussi fortement parce qu'elle attend l'opposé de lui (exemple #1).

L'associé est lié au partenaire qui l'amène à la banqueroute. Les choix politiques de nos élus agissent petit à petit sur la mentalité de notre société, l'éloignant de plus en plus des valeurs auxquelles j'adhère (exemple #2). 

Le #3 est un exemple de haine liée à la peur. On déteste les araignées en général à la suite d'un événement désagréable vécu avec une d'entre elles. Il est possible aussi que l'araignée soit l'objet d'une phobie. Dans ce dernier cas, c'est une autre expérience émotive qui est transposée sur l'araignée. La haine à l'égard de l'insecte est ce qu'on appelle un déplacement (voir " La phobie démystifiée" à ce sujet). 

La haine est une émotion importante, comme toutes les émotions. C'est en la ressentant qu'on arrive à comprendre ce qui nous affecte réellement.

 

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Published by rendezvousbienetre
28 décembre 2012 5 28 /12 /décembre /2012 08:37

Experience similaire : humiliation 

Des exemples :

J'ai honte de montrer que j'ai peur de parler en public. 

J'ai honte du comportement que j'ai eu après avoir bu un verre de trop. 

J'ai honte de ma famille. 

J'ai honte de mes fantasmes sexuels. 

Qu'est-ce que la honte ? 

La honte est une émotion mixte. C'est la version sociale de la culpabilité. On n'éprouve jamais de la honte seul face à soi-même. La honte est un sentiment qui est toujours vécu "devant" les autres et "par rapport" à leur jugement. 

La honte survient lorsqu'on est visible dans un aspect de soi qu'on juge très négativement. Elle est composée d'une réaction d'humiliation devant le jugement de l'autre et du jugement négatif (culpabilité) qu'on porte soi-même sur cet aspect. 


À quoi sert la honte ? 

Elle permet de constater que nous n'assumons pas ce qui nous fait honte. Elle permet aussi d'identifier le jugement que nous portons nous-même sur le sujet. (C'est justement ce jugement qui rend difficile de l'assumer). Enfin, elle nous informe de l'importance des personnes devant lesquelles nous vivons cette honte. 


Utilisation défensive : éviter les jugements 


Il est difficile de s'exposer au jugement de l'autre et de consentir à être humilié. Si je considère comme puérile ma peur de parler en public, il est normal que je craigne que d'autres portent le même jugement que moi. En m'exposant à leur critique, je prends le risque d'être humilié. 

Par contre, si je ne m'expose pas dans ce que je suis, je perds l'occasion de m'assumer. Il est particulièrement important, pour croître, que je confronte les objets de ma honte. C'est par ce chemin que je puis régler le problème qui en est la source.

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27 décembre 2012 4 27 /12 /décembre /2012 22:00

Des chercheurs du Cedars-Sinai ont développé une psychothérapie visant à aider à développer un point de vue plus positif sur le futur et l'ont comparée à la thérapie cognitivo-comportementale traditionnelle qui est, estiment-ils, centrée sur les pensées négatives concernant les expériences passées.

Des études récentes d'imagerie cérébrale ont montré que les personnes déprimées ont un fonctionnement réduit dans les régions du cerveau responsables de l'optimisme", souligne Jennice Vilhauer, coauteure. Elles ont également "tendance à avoir moins de compétences pour le développement d'un meilleur avenir. Elles ont moins d'aptitudes pour fixer des objectifs, résoudre des problèmes ou planifier des événements futurs", indique-t-elle.

La thérapie orientée vers le futur vise l'enseignement des compétences nécessaires pour penser à l'avenir de façon plus positive et prendre les mesures nécessaires pour créer des expériences futures positives.

Quand les gens ne parlent que des aspects négatifs de leur vie, cela les amène à se concentrer davantage sur ce qui les rend malheureux, dit Vilhauer. La thérapie orientée vers les futur vise à les aider à porter leur attention vers la construction de visions de ce qu'ils veulent à l'avenir et les aider à développer les compétences dont ils auront besoin pour y arriver.

Dans cette étude, dont les résultats sont publiés dans la revue CNS Neuroscience & Therapeutics, 16 personnes ayant reçu un diagnostic de dépression majeure participaient deux fois par semaine pendant dix semaines à des sessions de psychothérapie animée par un psychologue.

Chaque semaine, elles lisaient un chapitre d'un manuel sur la thérapie orientée vers le futur et complétaient des exercices visant à améliorer des habiletés telles que fixer des objectifs. Un autre groupe de 17 personnes suivait une thérapie cognitivo-comportementale traditionnelle. La sévérité des symptômes de dépression et d'anxiété ainsi que la qualité de vie étaient mesurés avant et après le traitement.

Les participants à la nouvelle thérapie ont connu des améliorations considérablement plus importantes des symptômes de dépression et d'anxiété ainsi que de la qualité de vie globale.

 

Psychomédia

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27 décembre 2012 4 27 /12 /décembre /2012 10:13

‎"Aimer, c'est partager des mots, des regards, des espoirs, des craintes.
L'Amour n'est jamais contrainte.
Il est joie, liberté, force.
L'Amour est emportement et enthousiasme.
L'Amour est risque.
N'aiment et ne sont pas aimés ceux qui veulent épargner, économiser leurs sentiments.
L'Amour est générosité, l'amour est prodigalité, l'amour est échange.
Qui donne beaucoup reçoit beaucoup en fin de compte.
Car nous possédons ce que nous donnons.
Aimer ce n'est pas mutiler l'autre, le dominer, mais l'accompagner dans sa course, l'aider.
Savoir accepter l'autre tel qu'il est.
Etre joyeux du bonheur qu'il trouve.
L'Aimer dans sa totalité : pour ce qu'il est, laideur et beauté, défauts et qualités.
Voilà les conditions de l'Amour.
Car l'Amour est une vertu d'indulgence, de pardon et de respect de l'autre. "

Martin Gray

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27 décembre 2012 4 27 /12 /décembre /2012 08:49

"Dans la vie intérieure, il y a un paradoxe. Il faut à la fois aller vers soi, se connaître, s’aimer, s’estimer, renforcer l’ego, et en même temps le lâcher, ne pas être obsédé par son nombril, s’oublier."

 

À l’ère de l’individualisme forcené, la quête spirituelle interpelle plus que jamais. Dialogue inspirant entre deux hommes éclairés : le premier, acteur consacré, met en scène une pièce sur la vie de sœur Emmanuelle. Le second, philosophe des spiritualités, est directeur du Monde des religions.


Madame Figaro. - Michael Lonsdale, la pièce que vous avez mise en scène sur la vie de sœur Emmanuelle fait salle comble. Qu’est-ce qui rend cette icône si actuelle ?
Michael Lonsdale. – Son tempérament sacrément culotté. Elle alpaguait les clients dans les restaurants chic. « Je viens vous piquer un peu de fric », disait-elle. Elle fonçait, n’avait aucun tabou, tutoyait tout le monde. Sa vie est un témoignage de liberté.


Frédéric Lenoir. – C’était une sœur rock’n’roll ! Elle séduisait aussi parce qu’elle vivait ce qu’elle disait. En matière de spiritualité, nous sommes saturés de discours creux et hypocrites.
La spiritualité devient parfois un mot-valise dont on sort ce qui nous arrange. Quel sens y mettez-vous ?

 
M. L. – Comme sœur Emmanuelle, je préfère nommer cela « amour ». Dieu n’est ni dans le ciel ni dans les nuages. Être croyant, c’est aimer Dieu en soi, qui est là, présent par son esprit, en chacun de nous.


F. L. – La spiritualité dépasse le clivage entre croyants et athées. Elle englobe tout ce qui améliore l’être humain : la bonté, la générosité, la capacité à se connaître, le désir de grandir, d’être vrai, d’être juste. Une phrase du dalaï-lama le résume bien. À la question « Quelle est la meilleure spiritualité ? », il répond : « Celle qui vous rend meilleur. » Notre époque a soif de sacré. Est ce pour sortir de l’ici et maintenant, se déconnecter, ralentir ?

M. L. – Il est vrai que la foi m’enseigne la patience et apaise mes tensions intérieures. Mais le temps m’importe peu. Je peux prier n’importe où et n’importe quand. Dans la rue, dans le métro... L’esprit de Dieu se manifeste aussi sans prévenir, par des rencontres heureuses, des situations qui s’éclaircissent. J’aime beaucoup cette phrase d’Einstein : « Le hasard, c’est quand Dieu voyage incognito. »


F. L. – Je rejoins Michael. Selon moi, si la prière est un élan permanent, une ouverture du cœur à Dieu, aux autres, à l’univers, la méditation, elle, structure le temps. Depuis trente ans, je médite chaque matin dans ma chambre, en position du lotus, avec une bougie et de l’encens. Je fais silence, je laisse défiler les pensées parasites. Le but n’est pas uniquement de déstresser mais aussi de mettre à distance ses émotions, d’oxygéner son esprit, d’agrandir son espace intérieur.
Comment la foi est-elle entrée dans vos vies ?

 
F. L. – Le questionnement spirituel est venu par la philosophie grecque. À 13 ans, j’ai lu Le Banquet, de Platon. Des questions abyssales ont surgi : « A-t-on une âme ? », « Est-elle immortelle ? » À 19 ans, j’ai lu les Évangiles et, cette fois, Dieu, qui restait pour moi très abstrait, s’est brusquement incarné dans le visage du Christ. Puis j’ai découvert le bouddhisme et j’ai fait une synthèse personnelle entre ces trois grandes sagesses.


M. L. – Mon chemin spirituel s’est fait cahin-caha. Au Maroc, où j’ai grandi, un ami de mes parents avait une statuette de Thérèse de Lisieux, qu’il voulait jeter. Du haut de mes 7 ans, j’ai crié : « Non ! C’est sacré. » J’ignorais le sens de ce mot ! Il m’a alors offert la statuette. Et j’ai installé un petit coin de prière dans ma chambre d’enfant. Des années plus tard, près de l’église de Notre-Dame des-Champs, à Paris, j’ai rencontré une dame aveugle. Je lui ai dit que je cherchais quelque chose de vrai, de pur. «Mon coco, c’est Dieu que tu cherches ! » m’a-t-elle répondu. Elle est devenue ma marraine spirituelle.


“Pour moi, le corps est un allié”

Qu’est-ce que la foi a changé en vous ?

M. L. – Mon regard sur les autres. Elle m’a appris à contrôler mes élans de colère et à respecter l’être humain. Je crois que chaque personne est un trésor. Le pardon a ainsi pris une place importante dans ma vie. J’avais un père indifférent et méprisant. Longtemps je l’ai rejeté. Quelle délivrance j’ai ressentie le jour où je lui ai pardonné, où j’ai compris le sens de cette phrase énorme, capitale : « Pardonnez-vous les uns les autres. »

F. L. – La notion de réconciliation avec soi-même et avec les autres s’inscrit au cœur du chemin spirituel. Adolescent, je ne m’aimais pas. Comme toi, Michael, j’avais des contentieux avec mes parents. La psychothérapie m’a aidé, mais pas totalement. Pour aller jusqu’au bout du pardon qui nous élève, qui nous fait grandir et qui nous apporte une guérison intérieure, j’ai ressenti le besoin de m’appuyer sur une force supérieure, une transcendance qui nous relie. C’est plutôt une réconciliation qui engagerait l’univers tout entier.

« Dieu, je le respire et je le transpire », disait sœur Emmanuelle à la fin de sa vie.

Quelle place pour le corps dans la relation au sacré ? Est-il un ennemi ou un allié ?

 
M. L. – Sœur Emmanuelle a eu des combats terribles avec ses pulsions sensuelles ! Un jour, elle est sortie dans la rue en disant : « Je veux un homme. » Un inconnu lui a pris le bras et l’a raccompagnée chez elle en murmurant : « Rentre chez toi, mon enfant... » Pour moi, le corps est un allié, car il a permis au Christ de s’incarner pour ressentir au plus profond la détresse humaine.

F. L. – Le christianisme, religion de l’incarnation, ne prend pas vraiment en compte le corps. Dans l’Évangile, Jésus mange, boit, ne condamne ni les pécheurs ni les prostituées. Mais depuis saint Paul et saint Augustin, la morale chrétienne a diabolisé le corps et la sexualité. Le succès des spiritualités orientales en Occident tient en grande partie au fait qu’elles relient le corps, la psyché et l’esprit. C’est l’expérience que j’en fais quotidiennement.

La spiritualité relève-t-elle de l’intime ou du collectif ? Quel sens a pour vous le mot partage à l’ère de l’ego XXL et du narcissisme triomphant ?

 
M. L. – Je n’ai jamais aimé prier seul. Il y a vingt ans, j’ai perdu plusieurs proches, dont ma mère, en quelques mois. J’allais très mal. Mon parrain m’a alors emmené à l’église Saint-François-Xavier, à Paris, au sein du renouveau charismatique de l’Emmanuel. Là, j’ai découvert la prière en groupe. Tout à coup des gens priaient pour moi, et je priais pour eux. Depuis, le partage est devenu une réalité tangible.

F. L. – J’en parle dans mon dernier livre, La Guérison du monde. L’humanité est malade de cet individualisme matérialiste qui nous sépare les uns des autres. La spiritualité se situe aux antipodes de ce narcissisme ! Dans la vie intérieure, il y a un paradoxe. Il faut à la fois aller vers soi, se connaître, s’aimer, s’estimer, renforcer l’ego, et en même temps le lâcher, ne pas être obsédé par son nombril, s’oublier. C’est la respiration de la vie spirituelle. Plus on apprend à être en vérité avec soi, plus on est relié aux autres. Pour moi, il n’y a pas de spiritualité sans partage.

Quelle fut votre expérience mystique la plus intense ?

M. L. – D’entendre littéralement Dieu parler à travers des êtres comme le père Ceyrac, Jean Vanier, Guy Gilbert, sœur Emmanuelle. Je ressens aussi sa présence dans l’art, la musique de Bach et de Mozart notamment. Pour moi, les artistes sont les témoins de l’invisible.


“J’ai construit ma vie sur des valeurs humanistes”

F. L. – Ma première grande rencontre avec le sacré, je l’ai vécue dans la nature, vers l’âge de 10 ans. Je marchais dans une forêt, un rayon de lumière a éclairé une clairière. Et j’ai senti un puissant amour en moi : j’étais soudain bouleversé par la beauté du monde et je sentais que j’étais une partie de ce grand tout. « Se tourner vers les autres, c’est trouver Dieu », aimait aussi à dire sœur Emmanuelle...

Sortir de son confort pour aider les plus démunis : avez-vous tenté l’expérience ?

M. L. – Dans mon groupe de prière, nous accueillons des personnes en grande souffrance morale et physique. Par la prière et le toucher, je les ai vus se libérer et retrouver le sourire.

F. L. – À 20 ans, j’ai passé quatre mois en Inde dans une léproserie et un mouroir. Ce fut une expérience incroyable car je pensais aider les autres, et ce sont eux qui m’ont aidé. J’ai vécu des moments de communion intense avec des mourants. Je ne parlais pas leur langue, mais je les caressais, je les massais. Leurs regards de joie et de tristesse mêlées m’ont bouleversé car nous étions dans une vérité radicale de la relation. Avec eux, j’ai vécu l’essentiel. C’est pour ça que j’ai construit ma vie sur des valeurs humanistes et spirituelles. Quand on ouvre son cœur, la spiritualité abolit les frontières entre les êtres.

L’étymologie de « religion », c’est « relier ». Comment ce mot résonne-t-il en vous à l’approche de Noël ?

M. L. – Pour moi, c’est une fête de la rencontre et de la communion.

F. L. – Noël a perdu une bonne part de transcendance, mais garde ce que j’appelle la reliance horizontale : Noël reste une fête de la fraternité, et tant mieux ! Même ceux qui ne croient plus dans le message chrétien ont envie de retrouver leurs proches et parfois même de mener des actions de solidarité. À l’inverse de Sartre, je dirais que l’enfer, c’est d’être seul. Le paradis, c’est d’être relié aux autres dans une relation chaque jour plus joyeuse et généreuse.

 

Rencontre entre l'acteur Michael Lonsdale et le philosophe Frédéric Lenoir , Libération.

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26 décembre 2012 3 26 /12 /décembre /2012 17:10

Un gagnant fait toujours partie de la réponse

Un perdant fait toujours partie du problème.


Un gagnant a toujours un programme

Un perdant a toujours une excuse.

Un gagnant dit : " laisse-moi le faire pour toi "

Un perdant dit : " ce n'est pas à moi à faire ça ".

Un gagnant a une solution pour chaque problème

Un perdant a un problème pour chaque solution.

Un gagnant dit : " ça va être difficile, mais c'est possible "

Un perdant dit : " c'est peut-être possible, mais c'est trop difficile ".

Un gagnant en fait le plus qu'il le peut

Un perdant en fait le moins possible.

Un gagnant essaie constamment de s'améliorer

Un perdant connaît tout et empêche tout changement.

Un gagnant prend les décisions

Un perdant les évite.

Un gagnant essaie toujours de trouver ce qui a causé un problème

Un perdant essaie toujours de trouver quelqu'un d'autre à blâmer.

Auteur inconnu

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Published by rendezvousbienetre
26 décembre 2012 3 26 /12 /décembre /2012 09:48

Un jour, l'âne d'un fermier est tombé dans un puits.
L'animal gémissait pitoyablement pendant des heures, et le fermier se demandait quoi faire. Finalement, il a décidé que l'animal était vieux et le puits devait disparaître de toute façon, ce n'était pas rentable pour lui de récupérer l'âne.
Il a invité tous ses voisins à venir et à l'aider.
Ils ont tous saisi une pelle et ont commencé à enterrer l'âne dans le puits.


Au début, l'âne a réalisé ce qui se produisait et se mit à crier terriblement.
Puis à la stupéfaction de chacun, il s'est tu.
Quelques pelletées plus tard, le fermier a finalement regardé dans le fond du puits et a été étonné de ce qu'il a vu.
Avec chaque pelletée de terre qui tombait sur lui, l'âne faisait quelque chose de stupéfiant. Il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus.
Pendant que les voisins du fermier continuaient à pelleter sur l'animal, il se secouait et montait dessus.
Bientôt, chacun a été stupéfié que l'âne soit hors du puits et se mit à trotter!'

La vie va essayer de t'engloutir de toutes sortes d'ordures.
Le truc pour se sortir du trou est de se secouer pour avancer.

Chacun de tes ennuis est une pierre qui permet de progresser.
Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n'arrêtant jamais.
Il ne faut jamais abandonner !

Secoue-toi et fonce !
Rappelle-toi, les cinq règles simples !

À ne jamais oublier, surtout dans les moments les plus sombres.


Pour être heureux / heureuse :

1. Libère ton cœur de la haine

2. Libère ton esprit des inquiétudes

3. Vis simplement

4. Donne plus

5. Attends moins.

 

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Published by rendezvousbienetre
26 décembre 2012 3 26 /12 /décembre /2012 09:42

Plus vous avez peur des araignées, plus elles vous paraissent grosses ! 


C'est l'amusante conclusion d'une étude publiée en février 2012, dans le Journal of Anxiety disorder : plus les araignées nous effraient, plus on surestime leur taille par rapport à leur réalité. Une araignée de quelques centimètres pourraient ainsi se transformer en monstre hideux et énorme, aux yeux d'un arachnophobe.


Dans cette expérimentation, menée par Michael Vasey (Département de Psychologie de l'Université de l'Ohio), on demandait à des participants de se confronter 5 fois physiquement (donc, de se mettre en présence) à de véritables araignées (plutôt volumineuses, puisqu'il s'agissait de tarentules!), puis, après chacune des confrontations, d'estimer la taille du monstre vu. Or, les résultats révélèrent que plus les personnes avaient peur des araignées, plus elles en surestimaient la taille.


Il arrive aussi que les araignées aient un autre effet grossissant. 
Le problème présente un côté exponentiel : plus on a peur, plus on a l'impression que l'araignée est grosse, et donc, plus on a peur... Il devient donc difficile de gérer de telles confrontations si l'on voit le monde de sorte qu'il exacerbe nos peurs profondes !


Mais ce n'est pas le seul problème : lorsque l'on est phobique, on a tendance à éviter toute situation susceptible de nous mettre en présence avec l'objet de notre peur. Or, plus on l'évite, moins on a de chances de se rendre compte que l'on se trompe (par exemple, sur la dangerosité, la taille perçue, etc...).


L'étude a été réalisée sur 57 participants se définissant comme arachnophobes. Durant 8 semaines, 5 confrontations, avec des araignées allant de 3 à 15 cm, étaient programmées. On mesurait le degré d'anxiété et de peur sur une échelle en 100 points, agrémentées de questions permettant d'affiner la description du ressenti. Les participants devaient ensuite estimer la taille de l'araignée qu'ils avaient vu (et avec laquelle ils avaient, parfois, interagi). Des recherches ultérieures réalisées sur des personnes non nécessairement arachnophobes, confirmaient également les résultats. Plus on a peur, plus les bestioles semblent énormes.


La méthodologie employée pour l’expérimentation se rapproche beaucoup des méthodes thérapeutiques utilisées par le courant psychothérapeutique cognitivo-comportemental, connu pour être très efficace dans le traitement des troubles phobiques. Mais il ne fonctionne pas toujours, et pour certaines personnes, ne dure qu'un temps. Les chercheurs espèrent, grâce à l'analyse des perceptions des personnes phobiques, trouver le moyen de déterminer à l'avance si ce type de thérapies a de grandes chances de réussir, selon le patient concerné.


L'expérimentation aura eu le mérite de mettre en évidence un effet perceptif que l'on soupçonnait : la distorsion perceptive induite par la peur.


Ce phénomène pourrait s'avérer dangereux : si à priori, la peur des araignées, et le fait de les voir plus grosses qu'elles ne le sont en réalité, peut paraître anodin, qu'en serait-il de la peur des aiguilles ? Une personne ayant une telle phobie pourrait être amenée à percevoir de façon biaisée la taille des dards qui vont lui transpercer la peau, même si c'est pour son bien : elle pourrait bien éviter les piqûres des médecins autant que faire ce peut, à cause de la distorsion de sa perception, et prendre ainsi des risques avec sa santé... Aussi, une meilleure compréhension des mécanismes qui altèrent la perception des objets phobogènes, pourrait permettre aux cliniciens de mieux gérer les phobies de leurs patients, par exemple, en commençant par travailler sur la réduction du filtre altérant la réalité perceptive.


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Vasey, M., Vilensky, M., Heath, J., Harbaugh, C., Buffington, A., Fazio. R. (2012) "It was as big as my head, I swear!". Journal of Anxiety Disorders.

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Published by rendezvousbienetre
25 décembre 2012 2 25 /12 /décembre /2012 20:09

‎"...Mon chemin n'est pas votre chemin. Je ne peux donc pas vous instruire. Le chemin est en nous, mais pas dans les dieux, ni dans les doctrines, ni dans les lois.

C'est en nous qu'est le chemin, la vérité et la vie. Malheur à ceux qui vivent selon des modèles ! La vie n'est pas avec eux.

Si vous vivez selon un modèle, vous vivez la vie d'un modèle, mais qui vivra votre vie sinon vous-mêmes. Donc vivez-vous vous-mêmes...

Que chacun suive son propre chemin..."

Jung , « La voie de l'à-venir »

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Published by rendezvousbienetre
24 décembre 2012 1 24 /12 /décembre /2012 21:32

Mariés ou non, vous devriez lire ceci ...


"Quand je suis rentré ce soir-là, et que ma femme a servi le dîner, je lui tenais la main et dit: J'ai quelque chose à vous dire. Elle s'assit et mangea tranquillement. Encore une fois j'ai observé la douleur dans ses yeux.

Tout à coup, je ne savais pas comment ouvrir ma bouche. Mais je devais lui dire ce que je pensais. « Je veux divorcer ». J'ai soulevé le sujet calmement. Elle ne semblait pas être ennuyé par mes paroles, bien au contraire elle me demanda doucement : pourquoi?

J'ai évité la question. Cela la mit en colère. Elle a jeté les couverts et me cria : tu n'es pas un homme! Cette nuit-là, on ne s’est pas parlé l’un l'autre. Elle pleurait. Je savais qu'elle voulait savoir ce qui était arrivé à notre mariage. Mais je ne pouvais lui donner une réponse satisfaisante, elle avait perdu mon cœur, car il s’était tourné vers Jane. Je ne l'aimais pas du tout, j’avais juste pitié d’elle!

Avec un profond sentiment de culpabilité, j'ai rédigé une lettre de divorce, qui stipulait qu'elle pouvait avoir notre maison, notre voiture, et 30% du capital de ma société. Elle la regarda, puis la déchira en mille morceaux. La femme qui avait passé dix ans de sa vie avec moi était devenue une étrangère. J’étais désolé pour elle et pour la perte de temps, de ressources et d'énergie, mais je ne pouvais pas reprendre ce que j'avais dit car j'aimais Jane chèrement. Enfin, elle a crié haut et fort en face de moi, et c'est ce que je m'attendais à voir. Pour moi son cri était en fait une sorte de libération. L'idée d'un divorce qui m'avait obsédée pendant plusieurs semaines semblait être plus ferme et plus clair maintenant.

Le lendemain, je suis rentré très tard et l’ai trouvée entrain d’écrire quelque chose à la table. Je n'ai pas pris le souper, mais je suis allé directement au lit et m'endormi très vite parce que j'étais fatigué après une journée bien remplie avec Jane. Lorsque je me suis réveillé, elle était toujours là au bureau. Je n'y ai pas prêté attention, je me suis retourné et ai encore dormi.

Dans la matinée, elle a présenté ses conditions de divorce: elle ne voulait rien de moi, mais elle avait besoin d'un mois de préavis avant le divorce. Elle a demandé que, dans cette période d'un mois nous aurons tous deux à lutter pour vivre une vie aussi normale que possible. Ses raisons sont simples: notre fils aura ses examens dans un mois, et elle ne voulait pas lui perturber le morale par notre mariage brisé.

Ce fut agréable pour moi. Mais elle avait quelque chose de plus, elle m'a demandé de me rappeler comment je l'avais transporté dans la chambre nuptiale le jour de notre mariage. Elle a demandé que tous les jours pendant la durée du mois, je l'emmène hors de notre chambre à la porte chaque matin. Je croyais qu'elle devenait folle. Afin de rendre nos derniers jours d’ensemble agréables, j'ai accepté sa demande bizarre.

J'ai parlé à Jane des conditions de divorce de ma femme. . Elle éclata de rire, et trouva cela absurde : « Peu importe les méthodes qu’elle appliquera, elle doit faire face au divorce », dit-elle avec mépris.

Ma femme et moi n'avions pas eu de contact de corps depuis que mon intention de divorce a été explicitement exprimée. Donc quand je l'ai portée le premier jour, nous avons tous deux paru maladroits. Notre fils applaudit derrière nous disant : « papa tient maman dans ses bras. » Ses paroles m'ont apporté un sentiment de douleur. De la chambre au salon, puis à la porte, j'ai marché plus de dix mètres avec elle dans mes bras. Elle ferma les yeux et dit doucement, ne dis rien à notre fils au sujet du divorce. J'ai hoché la tête, me sentant quelque peu bouleversé. Je l’ai posée devant la porte. Elle est allée à attendre le bus pour aller au travail. J'ai conduit seul et partis au bureau.

Le deuxième jour, nous l’avons fait beaucoup plus facilement. Elle se pencha sur ma poitrine. Je pouvais sentir le parfum de son chemisier. J'ai réalisé que je n'avais pas regardé cette femme attentivement pendant une longue période. J'ai réalisé qu'elle n'était pas jeune non plus. Il y avait des fines rides sur son visage, ses cheveux grisonnaient! Notre mariage avait fait des ravages sur elle. Pendant une minute, je me suis demandé ce que j'avais fait d’elle.

Le quatrième jour, quand je l'ai soulevée, j’ai senti au retour un sentiment d'intimité. Ce fut la femme qui avait donné dix ans de sa vie pour moi. Le cinquième jour, et le sixième, j'ai compris que notre sentiment d'intimité renoué était croissant. Je n'ai rien dit à Jane à ce sujet. Il est devenu plus facile de la porter au fur et mesure que le mois s'écoulait. Peut-être que la séance d'entraînement quotidienne m'a rendu plus fort.

Et un matin, elle se mit à chercher quoi porter. Elle a essayé pas mal quelques robes mais ne pouvait pas trouver une qui la convienne. Puis elle soupira : « toutes mes robes ont grandi ». J'ai soudain réalisé qu'elle avait tellement maigri, c'était la raison pour laquelle je pouvais la porter plus facilement.

Tout à coup, cela m'a frappé ... elle avait enduré tant de douleur et d'amertume dans son cœur. Inconsciemment, j'ai tendu la main et toucha sa tête.

Notre fils est venu en ce moment et dit: Papa, il est temps de porter maman. Pour lui, voyant son père portant sa mère était devenue une partie essentielle de sa vie. Ma femme fit un geste à notre fils de venir plus près et le serra étroitement. Je tournais mon visage parce que j'avais peur, je pourrais changer d'avis à la dernière minute. Je l’ai alors prise dans mes bras, marchant de la chambre, à travers le salon, dans le couloir. Elle mit doucement et naturellement ses mains autour de mon cou. Je l'ai serrée contre moi. C’était comme le jour de notre mariage.

Mais son poids beaucoup plus léger m'a rendu triste. Le dernier jour, lorsque je l'ai tenue dans mes bras, je pouvais à peine bouger d'un pas. Notre fils était allé à l'école. Je l'ai tenue fermement et lui dit: Je n'avais pas remarqué que notre vie manquait d'intimité. J'ai conduit et suis allé au bureau .... J’ai sauté de la voiture rapidement sans verrouiller la porte. J'avais peur qu’il soit tard pour moi de changer d'avis ... Je pris les escaliers. Jane ouvrit la porte et je lui ai dit, Désolé, Jane, je ne veux plus de divorce.

Elle me regarda, étonnée, puis toucha mon front : « As-tu de la fièvre? » Dit-elle. J’ai enlevé sa main de ma tête : « Désolé, Jane », je dis, « je ne vais pas divorcer. Ma vie conjugale était ennuyeuse sans doute parce qu'elle et moi n'avions pas valorisé les détails de nos vies, et non parce que nous ne nous aimions plus. Maintenant je me rends compte que depuis que je l'ai amenée à mon domicile le jour de notre mariage, je suis censé la garder jusqu'à ce que la mort nous sépare ». Jane semblait soudainement se réveiller. Elle m'a donné une claque forte puis claqua la porte et fondit en larmes. Je descendis et m'en allais. À la boutique de fleurs sur le chemin, j'ai commandé un bouquet de fleurs pour ma femme. La vendeuse m'a demandé ce qu’elle pouvait écrire sur la carte. J'ai souri et j’ai écrit : Je te porterais chaque matin jusqu'à ce que la mort nous sépare.

Ce soir je suis arrivé à la maison, des fleurs dans mes mains, un sourire sur mon visage. Je montais les escaliers, mais seulement, hélas, pour trouver ma femme dans le lit, morte. Ma femme avait été lutté contre le cancer depuis des mois et j'ai été tellement occupé avec Jane, que je n’ai même pas remarqué. Elle savait qu'elle allait mourir bientôt et elle a voulu me sauver de la réaction négative de notre fils, au cas où nous aurions divorcé. Du moins, aux yeux de notre fils - je suis un mari aimant ... .

Les petits détails de votre vie sont ce qui importe vraiment dans une relation. Ce n'est pas la maison, la voiture, la propriété, l'argent à la banque. Ceux-ci créent un environnement propice pour le bonheur mais ne peut pas donner le bonheur en eux-mêmes.

Donc, trouver du temps pour être l'ami de votre conjoint et de faire ces petites choses pour l'autre qui construisent l'intimité. Faire un vrai mariage heureux!

Si vous ne partagez pas ceci, rien ne vous arrivera.

Si vous le faites, vous venez peut-être de sauver un mariage. Beaucoup d'échecs de la vie sont dus au fait que les gens ne se rendent pas compte à quel point ils étaient près du succès au moment où ils ont abandonné. ♥

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Published by rendezvousbienetre