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  • : Rendez-Vous Coaching et Bien-Être
  • : Coaching de vie - développement personnel.Ce blog est le votre. Des pistes, des lectures et des réflexions mises à votre disposition pour vous aider peut-être à mieux vous connaître, et avancer plus librement dans votre vie. Merci à Vous... rendezvouscoaching.wix.com/energie
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24 décembre 2012 1 24 /12 /décembre /2012 09:31

Nos réactions émotionnelles ont le plus souvent des causes si profondément enfouies en nous et dans notre passé qu’elles nous demeurent mystérieuses.

Pourtant, il est possible d’y avoir accès, de les contrôler et même parfois de les supprimer. En passant par les sensations du corps.

[...]

Lorsqu’une réaction émotionnelle inadaptée persiste depuis longtemps dans notre vie, il n’est pas toujours facile de remonter à ses origines. Pourtant, notre réaction aux événements présents est toujours la conséquence de ce que notre cerveau a enregistré au cours d’expériences antérieures.

Ce processus est lié à la nature même de l’organisation du cerveau : les chiens de Pavlov salivent rien qu’en entendant une cloche sonner, si ce son à précédemment accompagné l’apport de nourriture. À l’inverse ceux pour qui la cloche a sonné tandis qu’il recevait un choc électrique se figent dans la peur et l’impuissance, en attente d’un nouveau traumatisme, même si aujourd’hui, il leur serait possible de s’échapper.

[...]

En revanche, la mémoire du corps, trop longtemps délaissée par la psychothérapie conventionnelle, semble conserver la trace de tels traumatismes à travers la vie entière. Des liens qui relient si fortement le passé oppressant que l’on pouvait croire indéfectibles : or, dans certaines conditions, lorsque l’on arrive à réactiver et à animer cette mémoire du corps, ils peuvent se délier avec une réelle rapidité surprenante.

 

David Servan Schreiber

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Published by rendezvousbienetre
22 décembre 2012 6 22 /12 /décembre /2012 07:13

1. Profiter pleinement du moment présent. Ne vous laissez pas déranger par le passé et distraire par ce qui pourrait arriver dans le futur. La vraie vie se vit maintenant.

2. Prendre la décision d'être sa meilleure amie. Soyez aussi indulgente, compréhensive, aidante avec vous-même que vous le seriez avec votre meilleure amie.

3. Ne plus se taper sur la tête. On a tous droit à l'erreur. Cela ne mène à rien de se blâmer, de se juger, de s'en vouloir, cela ne fait qu'apporter du mal.

4. S'adapter au lieu de se révolter. Que d'énergie nous dépensons inutilement à combattre la réalité. Ce qui est, est. À quoi bon vouloir changer des choses hors de notre contrôle.

5. Se centrer sur les aspects positifs de notre vie. Il y aura toujours des côtés pénibles à notre existence mais pourquoi les amplifier en y concentrant toute notre énergie ?

6. Accueillir toutes les émotions qui émergent en soi. Il n'y a pas de bonnes et de mauvaises émotions. Elles font toutes partie de nous.

7. Consacrer à nos inquiétudes un temps défini dans la journée. De cette façon, nous ne serons plus submergée par nos inquiétudes et nous pourrons employer le reste de notre temps de façon constructive.

8. Se féliciter pour chaque bon coup, chaque succès, aussi petit soit-il. Il ne faut pas attendre d'accomplir de grandes choses avant de se reconnaître et d'être fière de soi.

9. Observer notre discours intérieur. Si celui-ci n'est pas juste, le modifier afin qu'il se conforme à la réalité. C'est souvent ce qu'on pense et ce qu'on se dit qui nous fait le plus de mal.

10. Laisser tomber nos exigences pour des préférences. Lorsqu'on exige une chose, on vit plus de frustration si on ne l'obtient pas que lorsqu'on la définit comme une préférence.

11. Lâcher prise. Ça ne vaut pas la peine de s'entêter à conserver la même attitude quand une solution s'avère inadéquate. Pourquoi ne pas garder une ouverture et voir les choses autrement ?

12. Faire la liste de ses priorités. Cela nous aide à reconnaître ce qui compte vraiment pour nous et à investir à la bonne place au lieu de s'éparpiller ou de faire comme les autres.

13. Accepter d'assumer ses choix. De cette façon, on agit en être responsable et on sort du carcan de la victime.

14. Prendre le temps de vivre, d'aimer, de savourer la vie. On ne sait pas combien de temps il nous reste à vivre, autant en profiter au maximum.

15. Modifier son attitude. C'est souvent le seul pouvoir qu'on a face à un événement ou une décision que l'on subit et qui nous fait vivre de l'impuissance. Personne ne peut nous enlever cette capacité.

Auteur inconnu

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21 décembre 2012 5 21 /12 /décembre /2012 10:03

1. Si tu juges les gens tu n'auras pas le temps de les aimer

2. Celui qui se relève est plus fort que celui qui n'est jamais tombé

3. On ne peut compter que sur soi-même, mais on ne peut y arriver seul

4. Hâte-toi lentement et tu auras vite fait d'arriver à destination

5. Qui veut faire quelque chose, trouve un moyen, qui ne veut rien faire trouve une excuse

6. On ne peut gravir les échelons ou succès avec les mains dans les poches

7. Proférer une parole blessante prends à peine une seconde, mais en guérir la blessure demande beaucoup de temps

8. Ne te hâte pas de punir, hâte-toi de comprendre

9. Si tu es content, tu es roi

10. La seule façon de travailler pour la paix du monde est d'établir en soi un îlot de paix.


«Qui vit en paix avec lui-même vit en paix avec l'univers»  Marc Aurèle

 


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20 décembre 2012 4 20 /12 /décembre /2012 13:20

Alors qu'un homme nettoyait sa nouvelle voiture, son fils de 4 ans ramassa un caillou et fit des graffitis sur la voiture.

Dans un excès de colère, sans même regarder ce que représentaient les graffitis, l'homme prit la main de son fils et la frappa plusieurs fois ; sans se rendre compte qu'il frappait avec une clé à molette.

A l'hôpital, le garçon perdit tous ses doigts, à cause des multiples fractures dont ils étaient victimes.

Quand le garçon vit son père tout triste, (à cause de sa blessure), il demanda :
"Papa, quand est-ce-que mes doigts vont repousser ?"

L'homme fut très secoué par la question et resta sans voix.
Il repartit vers sa voiture et la cogna plusieurs fois.
Dépité par ses propres actions, il s'assit devant la voiture.
Alors il vit ce que son fils avait gribouillé sur sa voiture et lut : "JE T'AIME PAPA !"

La colère et l'amour n'ont pas de limites.
Choisis toujours cette dernière pour avoir une belle vie.

Les choses sont créées pour être utilisées et les personnes pour être aimées.

Mais le problème dans le monde d'aujourd'hui est que les personnes sont utilisées et les choses elles, sont aimées.

Essayons de garder toujours ceci à l’esprit :

« Les choses sont créées pour être utilisées, tandis que les personnes elles, sont créées pour être aimées. »

A méditer…

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20 décembre 2012 4 20 /12 /décembre /2012 09:21

Il y a un lien très fort entre la tendance à se victimiser et un mauvaise estime de soi : parce qu’il y a trop de choses dans la vie qui exercent une influence négative sur l’estime que j’ai de moi-même, je cherche à rendre les autres responsables de ces choses, pour me libérer. Si j’ai une bonne estime de moi-même, je n’ai pas besoin de me victimiser, j’adopte une attitude responsable.

Après avoir subi une offense grave, une grande injustice, dans les premiers temps, il est normal que j’éprouve le sentiment d’être victime. Cela fait partie du processus de deuil. Mais à moment donné, il faudra pouvoir sortir de ce sentiment, qui peut dégénérer en victimisation et même en paranoïa. (Cf. les soldats qui sont revenus de la guerre du Vietnam, Camille Claudel par rapport à Rodin)

 

A. L’éternelle victime 

Les caractéristiques de la personne qui se victimise : Elle subit les situations, ou plutôt accepte de les subir (= une certaine passivité). Peur, résignation, soumission, fatalisme, défaitisme, sentiment d’écrasement, apitoiement sur soi-même, pessimisme. Rend souvent les autres responsables de ses problèmes. Cherche des excuses plutôt que de trouver des solutions.

La personne qui a une attitude responsable cherche d’abord à se changer elle-même ; la personne qui se victimise cherche d’abord à changer les autres, elle voit prioritairement le problème en dehors d’elle.


La personne qui se victimise rend les autres responsables de ce qui ne va pas, fait des autres des boucs émissaires. Si la pastorale dans la paroisse ne fonctionne pas, c’est à cause de Pierre, Paul ou Jacques, à cause des structures, à cause des responsables, à cause des dirigeants, à cause des prêtres, à cause de…. Il y a parfois dans cette attitude du bouc émissaire une échappatoire à une authentique remise en cause personnelle, voire conversion personnelle.

P. Pradervand : « D’une certaine façon, la personne qui se réfugie dans le rôle de victime reste enfant, refuse de grandir. Ce n’est pas une raison pour manquer de la plus tendre compassion à son égard. Car celui ou celle qui est coincé(e) dans une attitude de victime est une personne qui a été blessée par la vie, ou qui en a peur ; seul l’amour peut faire fondre la peur, pas le jugement. » (Plus jamais victime, p. 51)

 

B. L’adulte responsable

Je préfère les formules avoir une attitude responsable, ou agir de manière responsable, plutôt que être responsable (cf. titre du livre de P. Pradervand), car cette dernière formule est ambiguë et peut laisser croire que l’on a à se rendre responsable de ce dont on est victime.


Avoir une attitude responsable, ou agir de manière responsable, « non pas dans le sens d’avoir causé le mal, mais d’être capable d’y réagir ou d’y répondre avec intelligence, créativité et amour. » (P. Pradervand, op. cit., p. 41) Ne pas subir de façon défaitiste le mal qui nous a été fait. Nous ne sommes peut-être pas responsables d’être par terre, du mal qui nous a été fait, mais nous sommes responsables de ce que nous faisons lorsque nous sommes à terre.

« C’est un choix que chacun, chacune peut faire à un moment ou à un autre de sa vie : vais-je me voir comme victime ou responsable ? C’est peut-être la décision la plus fondamentale que nous puissions prendre dans l’existence » (P. Pradervand, op. cit., p. 23) 

Il y a parfois, derrière la tendance à se victimiser, un refus de voir sa propre responsabilité dans ce qui ne va pas. Une attitude quelque peu infantile. L’enfant dit souvent : « C’est pas moi, c’est l’autre ! » Chez l’adulte, cela prend la forme plus élaborée d’une justification rationnelle. Il y a une part de nous-mêmes que nous peinons à voir, l’ombre, et que nous projetons sur les autres. Sr Marie-Pierre Lambert va même jusqu’à dire : « En chacun de nous il y a une victime et un bourreau. L’admettre est douloureux. » (In Voix de Saint-Paul, 3.1999) Accepter qu’il y a en nous une part de bourreau est dur à reconnaître. 


Je n’ai pas, dans le sens contraire, à me rendre responsable de tout ce qui m’arrive, mais je peux réagir de manière responsable à une situation dont je ne suis pas responsable.

 

C. Un proverbe

La personne qui se victimise trouve des excuses ; la personne qui a une attitude responsable trouve des solutions.

 

3. Un deuil à vivre

Se situer en adulte responsable est un deuil à vivre : un deuil par rapport à des attitudes infantiles et des avantages dont nous croyions tirer, un deuil du passé, des manques et frustrations subies, et même un deuil d’une réparation par rapport à tout cela.

J. Arènes : « Il est une nécessité vitale de sortir un jour de la plainte, et de pouvoir se dire à soi-même que le temps de l’offense est terminé. Cela ne veut pas dire qu’il n’existe plus de blessure ni de souffrance, mais simplement que j’ai décidé de tourner la page, de sortir de cet accrochage à l’offenseur par le biais de la plainte. Cette décision est de l’ordre du deuil. Après, c’est comme si j’avais "perdu" l’offenseur, et par là même toute possibilité de réparation. La réparation n’est d’ailleurs jamais totale ; il faut, pour de nouveau goûter à la vie, tolérer qu’elle ne le soit pas. Tolérer aussi, dans certains cas, de ne pas enchaîner les représailles qui entretiennent, elles aussi la relation avec l’offenseur. » (Dépasser sa violence, p. 114)

 

4. Lien victimisation – culpabilité

Il y a un lien entre le sentiment d’impuissance et la victimisation : devant l’impuissance que je peux ressentir face à des personnes ou des situations, je cherche à rendre les autres responsables.

Un constat empirique : Plus une personne a de culpabilités, plus elle a tendance à se situer comme victime. C’est paradoxal, mais il y a un lien entre la culpabilisation et la victimisation. Logiquement, la personne qui se victimise ne devrait pas avoir de culpabilité, puisque la culpabilité est reportée sur l’autre. Or, c’est le contraire qui se passe. Mais cela s’explique si la victimisation est précisément un mécanisme de défense contre une culpabilité maladive. Je me victimise pour essayer de me libérer de mes culpabilités.

« Il faut sortir du rôle de victime pour devenir acteur. L’être humain est guéri lorsqu’il accepte la culpabilité [la juste culpabilité]. (…) En psychologie clinique, on dit que l’homme se libère d’une culpabilité injustifiée (et) qui entrave son existence lorsque de victime il devient acteur. Lorsqu’il assume [la part de] sa faute et voit "la poutre dans son œil", il est sur le chemin de sa propre humanité. » (Bethléem, mai 2001, p.18-19)

 

5. Juste culpabilité et culpabilité maladive (culpabilisation)

Il y a une juste culpabilité et culpabilité maladive (culpabilisation). Si, par négligence, je provoque un incendie qui détruit toute une maison, il est juste que j’éprouve un sentiment de culpabilité. (Je ne dirai pas comme Pradervand : « La culpabilité est la maffia de l’esprit ») Ce n’est plus juste si j’éprouve de la culpabilité face à une situation dont je ne suis pas responsable. Je souffre de culpabilité maladive si je me culpabilise pour tout et pour rien.


Marie Balmary, dans le livre Le sacrifice interdit, décrit très bien la genèse de la culpabilité maladive : « Bien des enfants, et bien des dominés (socialement, profes­sionnellement, politiquement), ont vécu et vivent la succession d’événements suivante : ayant été offensés, ils protestent et sont alors réprimandés de réprimander ; on leur reproche le fait même qu’ils font un reproche. Les forces étant inégales, ils en viennent à se taire. Dans bien des familles à "forte ambition éducative", des enfants ont même dû demander pardon d’avoir fait un reproche. La boucle est bouclée : c’est l’offensé qui est maintenant celui qui demande pardon : la faute est bien revenue sur lui. » (p. 59)

Donc, selon Marie Balmary, l’origine de la culpabilité est dans le fait d’avoir été situé comme coupable d’une offense subie. Ceci pervertit le sens de la responsabilité et installe une fausse culpabilité. La personne par la suite aura tendance à se sentir coupable de tout. 

Pourtant, la personne éprouve à l’intérieur d’elle-même un sentiment d’injustice face à cette culpabilité. La réaction de défense contre la culpabilité, c’est la victimisation : Ce n’est pas moi, c’est lui ! = un besoin de mettre hors de soi la faute. 


6. De la culpabilisation à la responsabilisation

Par la suite, j’aurai de la peine à accepter ma réelle culpabilité dans une situation où je suis réellement coupable. Parce que la culpabilité reste marquée d’une blessure, marquée par un sentiment d’injustice, par une peur.

Mais, à moment donné, j’ai à sortir de la victimisation qui est un mode blessé, un peu infantile, pour passer dans un monde plus adulte, celui de l’attitude responsable. Un mode où je ne cherche ni à me libérer de ma juste culpabilité, ni à me charger injustement.

La clef de dénouement de la culpabilisation, c’est changer de registre : Il faut sortir du registre culpabilité – victimisation pour entrer dans celui de la responsabilisation. Ce changement de registre est aussi un changement de regard : passage d’un regard qui juge, condamne, à un regard d’adulte, qui n’accable ni les autres ni soi-même.

Le couple culpabilisation – victimisation s’auto-entretient. La personne qui est prise dedans se voit constamment coupable ; et pour se libérer de cette culpabilité, elle se victimise. Elle se victimise pour affirmer son innocence, même dans des situations dont elle porte réellement la responsabilité. 

Mais la victimisation ne libère pas de la culpabilité, au contraire, elle l’entretient, tout comme elle entretient le lien avec l’agresseur. En plus elle l’entretien dans un sens de domination de la part de l’agresseur : je suis établi comme victime.

Se rappeler cette parole de A. Grün : « L’autre n’a de pouvoir sur moi que celui que je lui donne. » (Développer sa valeur personnelle, p. 127) C’est particulièrement vrai dans la victimisation.

La sortie de ce cercle vicieux passe par la transformation de la culpabilisation en responsabilisation. Avoir une attitude responsable, en réfutant la culpabilisation.

 

7. La décision de prendre en main sa vie

Il y a sous-jacent au problème deux attitudes de fond par rapport à l’existence, face à soi-même, face aux autres : une vie subie ou une vie choisie

- une attitude de refus, de résignation, de défaitisme, de passivité. « L’attitude de victime est fondamentalement une attitude de négation face à la vie » (Pradervand, op. cit., p. 64) La vie, les personnes, les événements difficiles sont subis, comme à contrecœur, parfois avec une teinte de reproche vis-à-vis de Dieu.

- une attitude d’acceptation, d’accueil, d’ouverture. Un oui aux événements de la vie, aux personnes. Un oui qui n’est pas qu’une acceptation extérieure, mais un plein consentement. Un oui qui devient finalement porteur : Dis oui à la vie, et la vie te portera !

Cf. texte : C’est le consentement à votre vie qui vous rendra libre, 6ème étape.

Il est certainement utile de fouiller dans son histoire, de découvrir d’où viennent les blessures du passé. Mais à moment donné, je dois en faire le deuil, tourner la page, cesser de me lamenter sur moi-même, je suis appelé à « prendre congé » de mon histoire. 

A. Grün : « Selon C.G. Jung, ce qui importe, c’est que, à un certain moment de mon existence, je prenne en main la responsabilité de ma vie, que j’acquiesce à mon passé et que je le considère comme un matériau qu’il s’agit de façonner. (…) Alors, je ne serai plus déterminé par mes blessures… » (Développer valeur personnelle, p. 125)

Maret Michel, Communauté du Cénacle au Pré-de-Sauges

 

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19 décembre 2012 3 19 /12 /décembre /2012 15:01

J’ai trouvé la réponse à cette fameuse question fondamentale et philosophique :


"Quelle est la clé de la réussite ?"

Le plafond m’a dit "L’ambition est haute"

La fenêtre me dit "Regarde le monde"

L’horloge m’a répondu "Le temps est d’or"

Le miroir m’a murmuré "Ne juge jamais d’après les apparences"

La porte m’a crié "Pousse fort afin d’atteindre tes buts"

Et Enfin le sol m’a sagement conseillé...

De toujours rester modeste de surtout garder les pieds sur terre.....

Auteur Inconnu

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18 décembre 2012 2 18 /12 /décembre /2012 15:02

yoda.jpg

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17 décembre 2012 1 17 /12 /décembre /2012 16:07

1. Assumer les conséquences de ses propres choix et décisions.

2. Laisser les autres assumer les conséquences de leurs propres choix et décisions, même si nous avons peur de nous sentir coupables.


3. Vérifier si l'autre a besoin d'aide avant de décider de l'aider.

4. Même si on se sent mal pour l'autre, ne pas souffrir pour chercher à le sauver, c'est-à-dire, ne pas se sentir obligé à l'autre.

5. Voir le besoin de l'autre et l'aider tout en se souvenant de son propre besoin.

6. S'assurer que l'aide n'est pas donnée dans le but de nous déculpabiliser.

7. Ne pas faire aux autres ou pour les autres ce qu'ils doivent faire eux-mêmes pour grandir.

8. Soutenir l'autre à prendre une décision ou lui donner de l'information qui va l'aider à se prendre en mains, plutôt que vouloir l'aider à tout prix.

9. Savoir que personne d'autre n'est obligé de dire oui à nos demandes ou attentes.

10. Savoir que tout ce que nous attirons à nous fait partie de notre création et contribue à nous faire grandir.

11. Savoir qu'aucune autre personne ne nous appartient et que personne n'est responsable ou coupable de nos émotions, réactions, épreuves et malheurs.

12. Savoir que nous avons toujours le choix de changer les décisions qui nous nuisent.

ÊTRE RESPONSABLE, C'EST VIVRE SANS CULPABILITÉ !

 

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17 décembre 2012 1 17 /12 /décembre /2012 09:12

« Notre peur la plus profonde n’est pas que nous ne soyons pas à la hauteur...

Notre peur la plus profonde est que nous sommes puissants au-delà de toute limite...


C’est notre propre lumière et non pas notre obscurité qui nous effraie le plus...

Nous nous posons la question: « Qui suis-je, moi... pour être brillant, radieux, talentueux et merveilleux ? »


En fait, qui êtes-vous pour ne pas l’être ? Vous êtes un enfant du Grand Esprit ! Vous restreindre... vivre petit... ne rend pas service au monde...


L’illumination n’est pas de vous rétrécir pour éviter d'in-sécuriser les autres...


Nous sommes nés pour rendre manifeste la gloire du Grand Esprit qui est en nous... Elle ne se trouve pas seulement chez quelques élus... elle est en chacun de nous... et, au fur et à mesure que nous laissons briller notre propre lumière, nous donnons inconsciemment aux autres la permission de faire de même...


En nous libérant de notre propre peur... notre présence libère automatiquement les autres.»

(extrait du discours prononcé par Nelson Mandela lors de son investiture à la présidence de la république d’Afrique du Sud en 1994)

 

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15 décembre 2012 6 15 /12 /décembre /2012 12:44


« Beaucoup de divorces sont nés d’un malentendu. Beaucoup de mariages aussi. » 

Tristan Bernard 


L’amour est probablement l’émotion la plus mystérieuse et la plus puissante qu’un individu puisse sentir. Quand on est pris d’amour, bon sang, c’est tout le corps et l’âme aime : on le sent dans la poitrine, le cœur bat des rythmes que nous ne connaissions pas, le ventre fait des nœuds, le cerveau est boosté, les hormones explosent, l’âme est légère, l’appétit a disparu, le monde est d’un coup tellement beau et mon entourage tellement gentil,… On est tous passé par là non ? Et oh combien n’est-ce pas agréable, euphorique, magique, et peut-être même… thérapeutique ! L’amour est capable des plus beaux miracles, mais aussi,… des pires cruautés lorsqu’il est mal exprimé ou meurtri ! On est toujours sur la même longueur d’onde ? 

Dans beaucoup de nos « rapports amoureux », nous faisons aussi tous des erreurs. Certaines moins graves que d’autres, cela fait aussi partie de la découverte et le développement de la relation, alors que d’autres rasent tout sur son passage tel un tsunami émotionnel sur la terre de votre âme. Les dégâts sont parfois considérables ! Les conséquences sont encore visibles des années durant ! 

L’affaire est complexe. Il n’existe pas de manuel type qui explique en long et en large comment aimer celui que nous chérissons. Nous avons tous nos individualités, nos différences! C’est cela qui vous donne tant de charme et c’est pour cette raison que vous aimez tant celui (celle) que vous aimez ! 

Une « union » réussie n’est pas une question de « recette ». C’est avant tout une ouverture d’esprit, une disponibilité, du partage, des sacrifices, du temps, de la volonté de découverte de l’autre et avant tout de soi. Ben oui quoi, avant de pouvoir aimer « l’autre », n’est-il pas important d’apprendre à se connaître réellement soi-même ? A se respecter soi-même ? A s’accepter tel que nous sommes, mais aussi à accepter de s’améliorer là où nécessaire ? Vous vous souvenez la fameuse allégorie de la poutre et de la paille dans l’œil ? Elle est dans l’œil de qui la poutre encore ? 

Ne culpabilisez pas si vous avez « échoué » votre relation. Prenez le temps et un peu de recul pour vous sentir mieux dans votre peau. 

« Prendre du recul » en voilà un bien grand mot ! Mais ça veut dire quoi au fait ? Pensez éventuellement aux pas que vous faites à reculons pour faire une belle photo d’ensemble… Pourquoi reculons-nous dans ce cas ? 

Il y a une erreur que beaucoup de gens commentent : c’est de penser pouvoir changer tous les défauts de celui (celle) qu’on aime. Quitte à faire un excès de concessions, parce que « quand on aime, on peut tout ! » 
Qu’en est-il de cette pensée ?
Faire des concessions est une chose et c’est important, mais ne vous éloignez pas trop de votre image que vous vous faisiez de votre compagnon idéal lorsque vous étiez célibataire : de façon presque inconsciente, c’est celle qui vous convient et c’est pour cela que vous vous l’aviez imaginée ! 

Lorsque les concessions vous entraînent à une image totalement opposée à celle d’origine, évaluez alors les raisons qui vous poussent à faire un choix alors totalement inattendu et contradictoire. L’amour ne s’arrête pas à un coup de foudre ou à des « yeux craquants » ! 

La personne que l’on aime ne doit pas devenir un autre « soi-même ». Etre unis et ne « former qu’un » ne veut pas dire que les différences n’existent pas.
Regardez vos mains par exemple : elles se ressemblent. Mais elles ne sont pas identiques. Sur la main droite, le pouce est à gauche. Sur la main gauche, le pouce est à droite (si vous les retournez, ce sera l’inverse ! Oui, je sais, c’est magique ;-) !). Regardez les empreintes, elles sont toutes différentes, tout comme les lignes de vos deux mains. Et pourtant, elles sont capables de travailler ensemble, tout en restant capables de fonctionner individuellement. Lorsqu’une main tient un stylo pour écrire, l’autre ne fait rien. Peut-on la lui reprocher ? En revanche, lorsqu’elles s’unissent pour jouer d’un instrument, le résultat peut être tellement exaltant qu’on peut se demander s’il n’y a pas plus que deux mains qui jouent ! Et encore, même en jouant cette symphonie de notes, la main gauche et la main droite jouent des notes tout à fait différentes mais oh combien harmonieuses lorsqu’elles sont « accordées » et « synchronisées »! 

Les mains ont apprises à jouer ensemble tout en gardant leur « identité propre » ! Quel bonheur lorsque cela marche ! 

Accepter l’autre avec son (ses) imperfections, c’est aussi un peu s’accepter avec ses propres défauts. Lorsque cette acceptation reste dans la limite de la compatibilité et de l’acceptable, alors oui, continuez. 

Vénus et Mars, ça vous parle aussi non ? 

Eh bien oui, souvenons-nous que la « mécanique » de l’homme diffère beaucoup de l’ « émotion » de la femme. Lorsque nous gardons cela en tête, vous mettez toutes les chances de votre côté pour réussir à comprendre et accepter l’autre. Les méthodes d’expressions sont totalement différentes chez l’homme et la femme. Donnez-vous l’opportunité de vous découvrir ! 

Pour les plus jeunes qui lisent ces lignes, prenez conscience que « vivre sa vie avec celui qu’on aime » est une décision lourde de conséquences. Inutile d’énumérer les avantages, vous les connaissez puisque vous l’aimez ! En revanche, souvenez-vous que l’engagement que vous prenez est fait pour durer et bien que la société actuelle à tendance à nous faire croire le contraire, c’est pourtant bien de cela qu’il s’agit : faire perdurer la relation jusque dans bien bien longtemps !

Cessez de penser systématiquement que votre amour fera changer ce que l’autre doit changer. L’amour, ce n’est pas vouloir changer l’autre. On n’entre pas dans une relation amoureuse pour changer l’autre. Vous vous tromperez à tous les coups.
L’amour durable, c’est vouloir partager avec l’autre, nuance. 

La première notion comprend une action unilatérale et, allez disons-le, prétentieuse : « je vais t’aider à changer mon amour ». 

La deuxième notion est une action interactive bilatérale donc constructive dans les deux sens ! Dites-vous bien que de toute façon, avec les années, vous allez changer tous les deux jusqu'à former un caractère qui vous sera propre, vous développerez un « caractère du couple » alors que vous garderez toujours votre propre identité individuelle. 

Prenez du recul et (ré)évaluez ce que veut dire pour vous le mot « amour », ce que cela représente pour vous, ce que vous voulez donner, mais aussi ce que vous voulez recevoir !
Vivre en couple est une merveilleuse expérience. C’est la plus belle aventure que l’Homme puisse vivre, c’est pour cela que vous devez mettre toutes les chances de votre côté ! 

Pour ceux qui ont déjà des années de relation commune qui perdure : félicitez-vous chaque jour ! Continuez à dire à votre partenaire que vous l’aimez et aussi pourquoi vous l’aimez ! Tiens, faites-le directement après avoir lu cet article. Dites-le lui. Appelez-le (la) s’il le faut, oui, là directement après ! Observez et imprégnez-vous de sa réaction. Et pourquoi pas, partagez cette expérience ici même. Elle pourra peut-être aider d'autres !

Pour les autres qui êtes divorcés, ça vous est arrivé « à vous aussi ». La fin d’une relation amoureuse n’est pas la fin de votre vie, même si cette union à comblé la plus grande partie de votre vie ! Chaque expérience de la vie, aussi négative puisse-t-elle paraître peut vous faire grandir. 

Le divorce en soi vous aura peut-être diminué(e), mais l’expérience vous aura fait grandir !


Vous avez probablement fait le point des centaines de fois. Vous ne comprenez peut-être toujours pas ce que vous auriez pu faire de plus. Les conflits étaient inévitables et vous avez déjà tout essayé lorsque vous vivez ensemble. Plus rien ne changera cette situation. La triste réalité nous apprend durement et cruellement que nous ne pouvons pas revenir en arrière ou changer le passé.
Combien de temps avez-vous passé à y réfléchir ?
S’ y attarder trop longtemps peut devenir limitant dans la construction du reste de votre vie. Toute l’énergie que vous passez à comprendre ce qui est probablement devenu incompréhensible, vous pourriez l’utiliser à faire votre deuil et à reconstruire un nouveau château de cartes, carte par carte. Laissez le passé à sa place et retournez-vous vers la route immaculée du futur que vous allez construire avec toute votre expérience ! Les émotions « pompent » 80% de notre énergie. Essayez de chercher celles qui vous guériront et reconstruiront ! Entourez-vous de personnes qui vous tireront vers le haut ! 

Accepter l’échec de son couple permet de retrouver l’équilibre interne et de mieux vivre sa vie personnelle et peut-être encore parentale. 

Vous, mère seules, vous êtes admirables ! Vous êtes courageuses, persévérantes, créatives et talentueuses ! Non, ce n’est pas facile de s’occuper seule des enfants, mais vous y arrivez probablement extrêmement bien et peut-être mieux qu’au milieu des disputes et violences que vous aviez pu vivre auparavant. Vous êtes courageuses et remarquables ! 

Pour vous qui êtes divorcé ou séparé et avez du mal à vous en remettre : OUI, on peut se remettre d’un divorce ou d’une séparation ! Il y a une vie après la rupture ! Souvenez-vous qu’un bon divorce vaut mieux qu’un mauvais mariage ! Que, si c’est le cas, vous vous êtes sortis d’une atmosphère violente incurable. Aussi difficile que soit un divorce, aussi profondes que puissent être les cicatrices, aussi déstabilisant que cela puisse être, aussi trahi que vous soyez, il n’existe aucun moyen miracle pour guérir d’un divorce. Seul le temps et le travail vers un futur nouveau peuvent vous y aider ! Découvrez en vous de nouveaux trésors bridés ou cachés ! Utilisez cette énergie précieuse pour vous (re)découvrir ! Restez ouvert à votre nouvelle vie après cette vie ! 

C’est maintenant le temps de prendre du temps pour vous-même. Travaillez sur vous, laissez le temps guérir votre cœur meurtri. 

La vie reste un défi et vous avez encore quelque chose à apporter à quelqu’un d’autre ! Vous n’êtes pas un vulgaire « déchet » ! Vous êtes toujours ce magnifique diamant. Il faut peut-être juste le (re)polir un petit peu pour qu’il donne tout son éclat éblouissant ! 

Vous êtes un diamant ! 

Votre serviteur dans l’optimisme, 

Michel Poulaert

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Published by rendezvousbienetre