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  • : Rendez-Vous Coaching et Bien-Être
  • : Coaching de vie - développement personnel.Ce blog est le votre. Des pistes, des lectures et des réflexions mises à votre disposition pour vous aider peut-être à mieux vous connaître, et avancer plus librement dans votre vie. Merci à Vous... rendezvouscoaching.wix.com/energie
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23 novembre 2012 5 23 /11 /novembre /2012 09:06

Une femme était dans le coma et se mourrait.
Elle eût soudain l'impression qu'on l'amenait au ciel et qu'elle se trouvait au lieu du jugement.

- Qui êtes-vous ? demanda une voix.
- Je suis la femme du maire, répondit-elle.

- Je ne vous ai pas demandé de qui vous êtes la femme mais bien qui vous êtes.
- Je suis la mère de quatre enfants.

- Je ne vous ai pas demandé de qui vous êtes la mère mais bien qui vous êtes.
- Je suis maîtresse d'école.

- Je ne vous ai pas demandé quelle est votre profession mais bien qui vous êtes. 

Et cela continua ainsi, quelle que fût sa réplique, elle ne semblait pas fournir de réponse satisfaisante à la question .

- Qui êtes-vous? 
- Je suis chrétienne.

- Je ne vous ai pas demandé votre religion, j'ai demandé qui vous êtes.
- Je suis celle qui est allée tous les jours à l'église et qui a toujours aidé les pauvres et les miséreux.

- J'ai demandé non ce que vous avez fait mais qui vous êtes.

Elle a manifestement échoué à l'examen, puisqu'on l'a renvoyée sur terre.
Quand elle se remit de sa maladie, elle décida de découvrir qui elle était. Et cela fit toute la différence.

Votre tâche consiste à être. 
Pas à être quelqu'un, pas à n'être personne, parce que cela implique avidité et ambition ; 
pas à être ceci ou cela et ainsi devenir conditionnné mais juste à Être.

 

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Published by rendezvousbienetre
22 novembre 2012 4 22 /11 /novembre /2012 20:56


Avez-vous l'habitude de conserver des objets inutiles,  en pensant qu'un jour, qui sait quand, vous pourriez en avoir besoin ? 


Avez-vous l'habitude d'accumuler de l'argent et de ne pas le dépenser parce que vous pensez que vous pourriez en manquer dans l'avenir ?

Avez-vous l'habitude de mettre en réserve des vêtements, des chaussures, des meubles, des ustensiles et autres fournitures domestiques que vous n'avez pas utilisés depuis quelque temps déjà ? 

Et en vous ? Avez-vous l'habitude de garder des reproches, du ressentiment, de la tristesse, des peurs et plus encore ? 

Ne le faites pas ! 
Vous allez à l'encontre de votre prospérité ! 

Il est nécessaire de faire de la place, de laisser un espace vide pour permettre à de nouvelles choses d'arriver dans votre vie. 
Il est nécessaire de vous débarrasser de toutes les choses inutiles qui sont en vous et dans votre vie afin que vienne la prospérité. 

La force de ce vide est une force qui va absorber et attirer tout ce que vous souhaitez. 
Tant que vous retenez matériellement ou émotionnellement des sentiments anciens et inutiles, vous n'aurez pas de place pour de nouvelles opportunités. Les biens doivent circuler.

Nettoyez vos tiroirs, les armoires, les ateliers, le garage...
Donnez ce que vous n'utilisez plus...

L'attitude qui consiste à garder un amas de trucs inutiles enchaîne votre vie en bas. 
Ce ne sont pas les objets que vous gardez qui font stagner votre vie... mais plutôt l'attitude de garder. 

Quand nous gardons en réserve, nous envisageons la possibilité du manque, de la pénurie.

Nous croyons que cela pourrait manquer demain et que nous ne serons pas capables de satisfaire ces besoins. 

Avec cette idée, vous envoyez à votre cerveau et à votre vie deux messages :

.Que vous ne faites pas confiance à l'avenir 

. Et que vous pensez que ce qui est nouveau et ce qui est meilleur ne sont pas pour vous.

Pour cette raison, vous vous réconfortez en conservant de vieux trucs inutiles. 

Débarrassez-vous de ce qui a perdu ses couleurs et son éclat ... 

Laissez entrer chez vous et en vous-mêmes ce qui est nouveau. 

Joseph Newton

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22 novembre 2012 4 22 /11 /novembre /2012 09:44

Ces personnes sont reconnaissables comme suit :


Ils où elles agiraient selon au moins une dizaine des caractéristiques qui suivent, non pas une fois de temps en temps, mais sans cesse.

Voici la liste :

1) Culpabiliser les autres

2) Reporter sa responsabilité sur les autres ou se démettre de ses propres responsabilités

3) Ne pas communiquer CLAIREMENT leurs demandes, leurs besoins, leurs sentiments et leurs opinions

4) Répondre très souvent de façon floue, évasive

5) Changer leurs opinions, leurs comportements, leurs sentiments selon les personnes ou les situations

6) Invoquer des raisons "logiques" pour déguiser leurs demandes

7) Faire croire aux autres que ces autres doivent être parfaits, qu'ils ne doivent jamais changer d'avis, qu'ils doivent tout savoir et répondre immédiatement aux demandes et aux questions

8) Mettre en doute les qualités, la compétence, la personnalité, l'honnêteté des autres : Ils critiquent sans en avoir l'air, dévalorisent et jugent

9) Faire faire leurs messages par autrui, ou par des intermédiaires, (tél au lieu de face à face, post-it)

10) Semer la zizanie et créer la suspicion, diviser pour mieux régner et peuvent provoquer à son insu la rupture d' un couple

11) Ils savent se placer en victimes pour qu'on les plaigne (Conjoint méchant, enfant difficile, maladie exagérée)

12) Ils ignorent les demandes, même s'ils prétendent s'en occuper

13) Ils utilisent les principes moraux des autres pour assouvir leurs besoins

14) Ils menacent de façon déguisée ou font un chantage ouvert

15) Ils changent carrément de sujet au cours d'une conversation

16) Ils évitent ou s'échappent de l'entretien, de la réunion, du rendez-vous

17) Ils misent sur l'ignorance des autres et font croire à leur supériorité

18) Ils mentent

19) Ils prêchent le faux pour savoir le vrai, déforment et interprêtent

20) Ils sont égocentriques

21) Ils peuvent être jaloux, même d'un parent ou de leur conjoint

22) Ils ne supportent pas la critique et nient des évidences

23) Ils ne tiennent pas compte des droits, des besoins et des désirs des autres

24) Ils utilisent souvent le dernier moment pour demander, ordonner ou faire agir autrui

25) Leur discours paraît logique ou cohérent alors que leurs attitudes, leurs actes ou leur mode de vie répondent au schéma opposé

26) Ils utilisent des flatteries pour nous plaire, font des cadeaux ou se mettent soudain aux petits soins pour nous

27) Ils produisent un état de malaise ou un sentiment de non-liberté (piège)

28) Ils sont efficaces pour atteindre leurs propres buts mais aux dépens d'autrui

29) Ils nous font faire des choses que nous n'aurions probablement pas faites de notre propre gré

30) Ils sont constamment l'objet de discussions entre gens qui les connaissent, même s'ils sont absents...



N'oubliez pas qu'il faut au moins une dizaine de caractéristiques pour pouvoir parler de manipulateur !!!

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22 novembre 2012 4 22 /11 /novembre /2012 08:35

Pourquoi les résolutions ont-elles tendance à échouer ?


Vous prenez la décision de faire un changement dans votre vie, un changement important dans le but de vous améliorer. Vous partagez cette résolution avec vos amis. Vous la mettez par écrit. Vous effectuez ce changement. Ça marche, vous vous sentez bien, vous êtes heureux. Vos amis en sont heureux. Votre vie s’améliore. Et puis tout s’arrête et vous régressez. 

Pourquoi ? Est-ce parce que vous n’avez aucune volonté, aucune force de caractère ? Pas nécessairement, écrit George Leonard dans son livre Mastery. Régresser est en réalité une expérience que nous connaissons tous. En fait, chacun de nous a tendance à résister à un changement majeur, qu’il soit pour le mieux ou pour le pire. Notre corps, notre cerveau et notre comportement ont une très forte tendance à se maintenir dans un programme connu et à y revenir dès la moindre déviation – et c’est d'ailleurs très bien comme ça.

Si votre température interne changeait de 10% sans que votre corps ne réagisse pour retrouver son équilibre, vous auriez naturellement des problèmes. Il en est de même pour votre taux de sucre et toutes les innombrables fonctions physiques qui vous maintiennent en vie. Cette condition d'équilibre, cette résistance au changement s'appelle homéostasie. Elle caractérise le fonctionnement de tous les organismes vivants, d'une bactérie à un être humain et celui des familles, des entreprises et des traditions culturelles, en agissant autant au niveau psychologique que physique.

L'action d'un thermostat qui tente de maintenir une température établie illustre d'une façon simple la notion d'homéostasie qui, lorsque nous tentons de changer notre comportement ou d'entreprendre une nouvelle activité, tend à nous maintenir à un niveau connu et établi - qu'il soit favorable ou pas. Tout effort pour changer quoi que ce soit, même si le but est de nous améliorer, s'oppose à une résistance interne qui nous envoie toutes sortes de signaux négatifs pour nous enjoindre d'arrêter immédiatement ce changement. Ces signaux peuvent être physiques ou psychologiques mais ils sont très réels et cessent de se manifester dès que nous abandonnons ce changement, dès que nous rentrons dans l'ordre et que nous retrouvons l'état de stabilité antérieur, même si celui-ci n’est pas satisfaisant.

Et pourtant, le changement existe partout. Les individus changent, les familles changent, les organisations et les cultures changent aussi. Cette résistance, qu'elle provienne de nous ou de ceux qui nous entourent, augmente avec l'importance du changement et la vitesse à laquelle il s'effectue, nous rappelle George Leonard. Plus le changement est considérable et plus il est rapide, plus la résistance sera vive.

Supposons qu'après plusieurs années de résultats insatisfaisants, vous décidiez d'adopter de nouvelles méthodes de travail pour améliorer votre carrière. Tout va se mettre à changer autour de vous et, tôt ou tard, vous serez confronté à l'homéostasie.

En fait, chaque fois que vous tentez de développer une partie importante de votre potentiel, dans quelque domaine que ce soit, vous provoquez des changements et, même si ces changements vous sont profitables, l'homéostasie agira immédiatement ou, quelques fois, plus tard, pour vous maintenir là où vous étiez auparavant. Peut-être allez-vous ressentir des signaux d'alarme sous forme de symptômes physiques ou psychologiques. Peut-être allez-vous même saboter vos propres efforts, sans le savoir. Il se peut aussi que vous éprouviez des résistances de la part de votre famille, de vos amis ou de vos collègues.

En fin de compte, ce sera à vous de décider si vous voulez mettre le temps et les efforts nécessaires pour continuer sur la voie que vous aurez choisie. Si vous le voulez vraiment, George Léonard vous offre les cinq recommandations suivantes. 

1- Soyez conscient du fonctionnement de l'homéostasie

Attendez-vous à de la résistance et à des contre-coups. Dites-vous que lorsque les signaux d'alarme retentissent, cela ne signifie pas nécessairement que vous êtes malade ou paresseux ou que vous avez pris une mauvaise décision. En fait, vous pourriez considérer ces signaux comme une preuve que votre vie est réellement en train de changer - et c'est bien cela que vouliez.

Il se pourrait, cependant, que vous ayez entrepris quelque chose qui ne vous convienne pas du tout. Vous devrez alors revoir vos priorités et prendre une autre décision. En tout cas, ne soyez pas pris de panique et n'abandonnez pas au premier obstacle.

Attendez-vous à rencontrer de la résistance de la part de vos amis, de votre famille et de vos collègues - en vous rappelant que l'homéostasie agit autant au niveau social que personnel. Supposons que vous décidiez de vous sentir mieux et, qu'au lieu de vous lever péniblement vers 7h30 pour arriver à votre bureau, déjà fatigué, à 9h, vous vous leviez plutôt à 6h et vous sortiez de chez vous pour marcher, courir ou faire du Tai Chi. Vous arrivez alors à votre bureau, plein d'énergie et prêt à l'action dès 8h30. Vous pourriez croire que vos collègues seraient heureux de vous voir ainsi mais n'en soyez pas si sûr. Et quand vous rentrez chez vous, plein d'entrain et prêt à continuer, pensez-vous que votre famille acceptera facilement ce changement ? Peut-être. Ne soyez pas surpris lorsque même ceux que vous aimez beaucoup tentent de vous dissuader. Ce n'est pas qu'ils vous veulent du mal, c'est l'homéostasie à l'œuvre. 

2- Soyez disposé à négocier avec votre résistance au changement

La négociation est la meilleure méthode pour réussir des changements à long terme dans votre vie personnelle ou dans votre organisation. Cela signifie souvent qu'il vous faudra reculer d'un pas avant d'avancer de deux et même, quelques fois, reculer de deux pas pour n'avancer que d'un seul. Vous devrez cependant conserver, sans faillir, votre détermination à aller de l'avant, tout en demeurant toujours conscient de ces résistances. Celles-ci, en retour, vous serviront alors de guides. Foncer aveuglément sans vouloir être conscient des résistances peut être dommageable et risque de vous faire reculer considérablement et même abandonner.

Vous ne saurez jamais à l'avance quelle forme prendra la résistance. Un sentiment d'anxiété ? Des problèmes psychosomatiques ? Une tendance à l'échec ? Des querelles avec la famille, des amis, des collègues ? Soyez alerte et soyez prêt à négocier. 

3- Créez des systèmes de soutien

Vous pouvez entreprendre un changement important sans aide mais il est aussi très utile de partager avec d'autres les joies et les risques du changement que vous avez entrepris. Les meilleurs systèmes de soutien sont constitués de gens qui ont déjà passé par un processus comme le vôtre ou qui, comme vous, sont en train de le faire. Des gens qui peuvent raconter leur histoire et écouter la vôtre, des gens qui vont vous relever lorsque vous en aurez besoin et vous encourageront à continuer lorsque vous serez sur la voie.

C'est ce sentiment d'être “à part mais ensemble” dans des circonstances exceptionnelles qui crée cet esprit de solidarité, ce soutien favorable au changement et à son maintien, en dépit des résistances dues à l’homéostasie.

Il est possible, cependant, que la voie que vous ayez choisie soit peu fréquentée et qu’il n’y ait personne autour de vous avec qui partager vos expériences. Vous pourriez alors vous adresser à vos proches, leur dire ce que vous voulez faire et pourquoi et leur demander leur soutien. 

4- Pratiquez régulièrement

Il est possible d’entreprendre un changement important dans votre vie ou votre carrière et de maintenir néanmoins un sentiment de stabilité et de confort.Cela peut se réaliser en adoptant un programme où vous pratiquerez régulièrement ce que vous avez entrepris de nouveau. L’important est que cette pratique n’ait d’autre but que la pratique elle-même et sa régularité ; aucun but externe ne sera recherché.

Ainsi, cette pratique répétée deviendra une discipline et deviendra la fondation même de la voie sur laquelle vous vous êtes engagé. La discipline signifie que vous ne la remettrez pas en question à chaque fois et qu’elle ne dépendra pas de votre humeur ni de votre disponibilité. En fait cette pratique régulière deviendra ensuite une habitude, une base stable et nécessaire d’homéostasie, durant l’instabilité du changement. 

5- Prenez l’engagement de toujours apprendre

Apprendre c’est changer. Que l’éducation s’adresse à l’intellect, au corps ou au comportement, il s’agit toujours d’un processus qui transforme celui qui apprend. Il ne doit pas s’arrêter à la fin de nos études secondaires ou universitaires ni à l’âge de quarante, soixante ou quatre-vingts ans et ce qu’on aura de plus précieux à apprendre ce sera comment apprendre en d’autres mots, comment changer.

En définitive, celui qui a pris l’engagement de toujours apprendre est aussi celui qui a appris comment traiter l’homéostasie car il est toujours en train de le faire. Lui seul est vraiment sur la voie de la “maîtrise”, et lui seul sait que son chemin ne finira jamais.

Source: Adapté d’un texte de George Leonard, tiré de son livre Mastery

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Published by rendezvousbienetre
21 novembre 2012 3 21 /11 /novembre /2012 08:30

1. Tenez un journal et un stylo près de votre lit.

2. Ecrire une question sur un morceau de papier avant d'aller vous coucher. Formaliser votre demande. Placez-le sur une table à côté de votre lit ou sous votre oreiller (comme vous l'avez fait comme un enfant quand vous avez fait un vœu à la fée des dents).

3. Dans la matinée, ne vous réveillez pas trop vite. Restez sous les couvertures pendant au moins quelques minutes vous souvenir de votre rêve. Prélassez-vous dans un sentiment de paix entre le sommeil et la veille, que les scientifiques appellent l'état hypnagogique. Ces premiers moments de fournir une porte.

4. Ouvrez vos yeux. Ecrivez votre rêve immédiatement, sinon il va s'évaporer. Vous pouvez rappeler un visage, objet, couleur, ou un scénario, ressentir une émotion. Il n'y a pas d'importance s'il est parfaitement logique - ou si vous récupérez une image unique ou plusieurs. Enregistrez tout ce dont vous vous souvenez.

Lorsque vous avez terminé recentrez vous sur la question que vous avez demandé la nuit précédente. Voyez comment votre rêve s'applique. Un, deux, ou plusieurs impressions sur le qui / quoi / où de votre solution peut-être surface.

 

Judith Orloff

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20 novembre 2012 2 20 /11 /novembre /2012 10:12

Et si...
Et si la cause de nos échecs amoureux était intrinsèque alors d’où en vient la naissance? Certaines personnes me demandent souvent( Comme je me le suis demandé longtemps) Mais pourquoi mes histoires amoureuses ne fonctionnent-elles jamais ? Je leur répondais que c’était parce qu’il n’avait pas rencontré LA personne avec un grand P ( un classique). Et si j’avais tort ? Si cette réponse n’est en réalité qu’un pur mensonge pour se donner l’illusion , se convaincre que le prochain sera le bon... Avec cette croyance, les gens continuent d’ATTENDRE le prince charmant, l’âme sœur, la moitié...

C’est en regardant une vidéo que j’ai enfin trouvé la Vérité. Ma VÉRITÉ. Qui ne sera peut-être pas vôtre, mais qui sera sans aucun doute l’ombre d’un questionnement. Cette roue qui tourne sans cesse est en fait UNE RÉPONSE ! Pensez-y, je suis certaine que dans vos relations passées, vous aviez éprouvé une des 3 grandes peurs UNIVERSELLES.

La peur de l’Abandon, la peur de ne pas être à la Hauteur ou bien la peur de faire Confiance.

Ne serait-ce pas plutôt l’une de ces 3 peurs qui, dans le monde des Énergies, bloqueraient l’épanouissement d’un futur amoureux ? En fait, la Vérité est que, si vous n’éprouvez aucune de ces 3 peurs dans votre relation alors vous vivrez ENFIN l’Amour tant attendu, l’Amour avec un grand A.

Donc, ne serait-il pas mieux de travailler sur Soi, sur ces 3 grandes peurs avant d’oser espérer vivre une Vraie relation Amoureuse Épanouissante ?

Au fur et à mesure que vous vaincrez ces peurs, vos relations deviendront de plus en plus harmonieuses. Voilà le Sens de cette expression. Il n'y a aucune Fin, tout est Commencement. Chaque relation amoureuse, courte ou longue, passionnante ou ennuyante, est en effet une Apprentissage. Chaque personne mise sur votre route est là parce qu’elle doit y être, pour parcourir un pas avec vous et non nécessairement toute la Vie ! Vous devez apprendre à vous libérer de ces 3 grandes peurs et comment cela serait-il possible sans Expérimenter ce Terrain ? Chaque relation amoureuse devient alors un Terrain d’Apprentissage ou vous devez apprendre à Vous Aimer !  Lorsque vous aurez réussi à VIVRE dans la Foi, Vôtre Foi, Vous allez donc être capable de Nourrir un Amour Sainement, de le faire grandir, car vous ne serez plus freiné ou accablé par la PEUR !

Libérez-vous d’abord de ces 3 grandes peurs et Ouvrez –vous par le fait même, au Véritable Amour... Tant et aussi longtemps que je ne réglerais pas le problème à la Source (mes peurs) j’aurais des AMOURS éphémères, des Amours d’Essais... D’où l’importance de comprendre que la Fin d’une relation a été créée par vous, par Vos Peurs, afin que vous appreniez à Ouvrir les yeux sur L’intérieur...

Auteur inconnu

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20 novembre 2012 2 20 /11 /novembre /2012 10:09

« L’Amour n’est pas la rencontre de deux " moitiés" mais la rencontre de deux « entiers »


L’autre n’est plus considéré comme ce qui vient combler un manque (de masculin ou de féminin) mais celui, ou celle, avec lequel je peux partager une plénitude.

Cette rencontre de deux sujets libres et entiers n’est-elle pas plus intéressante que celle de deux frustrations ou incomplétudes ?


Mais cela passe sans doute par ce lent travail de maturation et de connaissance de soi qui demande parfois un certain recul par rapport à ce qui est supposé combler notre manque.


Celui qui n’est pas bien « seul » comment serait-il bien avec l’autre ? »


J.Y. Leloup

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19 novembre 2012 1 19 /11 /novembre /2012 18:54

« En fait, les rêves sont des produits de l'âme inconsciente ;
ils sont spontanés, sans parti pris, soustraits à l'arbitraire de la conscience.
Ils sont pure nature, et, par conséquence,
d'une vérité naturelle et sans fard; c'est pourquoi ils jouissent d'un privilège sans égal pour nous restituer une attitude conforme à la nature fondamentale de l'homme, si notre conscience s'est éloignée de ses assises et embourbée dans quelque ornière ou quelque impossibilité.


Méditer ses rêves, c'est faire un retour sur soi-même.
Au cours de ces réflexions, la conscience du moi ne médite pas sur elle seule ;
elle s'arrête aux données objectives du rêve comme à une communication ou à un message provenant de l'âme inconsciente et unique de l'humanité.
On médite sur le Soi et non sur le Moi, 
sur ce soi étranger qui nous est essentiel, qui constitue notre socle et qui, dans le passé, a engendré le moi ;
il nous est devenu étranger, car nous nous le sommes aliéné en suivant les errements de notre conscience.»

Jung

 

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16 novembre 2012 5 16 /11 /novembre /2012 09:02

L’histoire du Sage qui expliquait l’amour-couple.

Un Sage avait un disciple laïc, celui-ci vivait dans le monde et venait régulièrement rendre visite à son instructeur. Un jour, pendant l’une de ses visites, le disciple annonça joyeusement au Maître qu’il était amoureux d’une femme, et qu’il songeait à vivre avec cette femme pour le restant de ses jours. Le Maître demanda au disciple ce qu’il entendait par être amoureux, et le disciple s’efforça d’exprimer aussi clairement qu’il en était capable la teneur et la nature de son sentiment. « Je ressens comme un feu qui me dévore, comme un vin qui m’enivre, dit le disciple. Quand je pense à ma bien-aimée, un doux frisson me traverse, et mon corps flotte comme sur un nuage, bercé par une indicible sensation de plénitude, réchauffé par une douce et ferme chaleur. Mon esprit nage dans les eaux colorées du ravissement, et ma pensée la plus douce est de me retrouver dans le sein de celle qui est l’étoile de mon cœur. ». Ainsi parla le disciple... Le Maître ne dit rien et laissa le disciple s’en aller.

Quelques semaines plus tard, le disciple revint, la mine défaite et l’esprit confus. « Que se passe-t-il donc ? » questionna le Maître. Après un long silence entrecoupé de soupirs de dépit, le disciple se confia : « La femme que j’aimais est devenue méconnaissable. Ses membres se sont déformés, au point de produire de monstrueuses infirmités. Sa peau s’est ridée et des boutons pleins de pus ne cessent de jaillir comme la lave d’un volcan déchaîné. Sa voix est devenue un croassement désagréable, et son regard n’est plus qu’une ombre sinistre. Je ne l’aime plus, mon sentiment s’est évanoui au fur et à mesure que son corps sombrait dans un cauchemar de laideur. Je reste encore avec elle seulement par devoir et par attachement atavique, mais bientôt je la quitterai. »

Le Maître se contenta ensuite de questionner le disciple sur le véritable fondement du sentiment d’amour qu’il avait éprouvé la première fois. En réfléchissant, le disciple finit par comprendre : « Son corps me paraissait une fleur belle et suave. Les traits harmonieux de son visage, le rebond adoucissant de ses formes, le timbre envoûtant de sa voix, les amusantes inflexions de sa manière de parler, l’éclat pénétrant de ses yeux... sa façon de marcher, le tendre velours de sa peau, sa façon d’être, de mouvoir son corps, la danse cadencée de ses bras, de sa tête... tout cela suscitait en moi un puissant sentiment doux et enivrant. ». Le Maître écouta en silence...

Durant les quelques jours qu’il passa auprès du Maître, le disciple prit le temps de réfléchir à ce qui lui était arrivé. Il avait vraiment cru avoir trouvé l’amour, mais il avait découvert que le sentiment éprouvé se fondait sur une sorte de réactivité instinctive par rapport au corps physique, plus précisément ce sentiment avait pour objets les caractéristiques brutes et les caractéristiques psychophysiques du corps. Après que les caractéristiques qui suscitaient en lui le sentiment amoureux aient disparu, il lui restait une sorte d’attachement instinctif, vestige persistant d’un ancien sentiment fougueux... Il résolut de demander au Maître des explications, et le Sage lui décrivit en quelques mots ce qui s’était passé : « Tu as éprouvé l’amour animal, un sentiment qui peut être vécu avec une grande intensité, d’autant plus que sa composante hormonale en fait une expérience psychophysique très concrète. Un tel sentiment découle d’un programme mental inconscient, propre au patrimoine psychogénétique de l’espèce humaine, qui accorde une grande importance à l’apparence psychophysique des Êtres. Celui qui sait que le masque psychophysique est superficiel et ne saurait avoir quelque importance, ne réagit pas face aux apparences psychophysiques, car une chose reconnue réellement comme étant sans importance ne saurait émouvoir en aucune façon, ou si peu qu’il ne s’agit de rien d’autre que d’un vague et passager borborygme de la sphère instinctive de l’Être physique. Seuls des Êtres immatures connaissent ce sentiment animal, du moins en tant qu’intense expérience, et l’appellent ‘amour’. »

Le disciple ne fut pas content de s’entendre dire qu’il était immature, il en voulut au Maître durant quelques jours pour cela. Lorsque son mécontentement céda la place à une lucide réflexion, il dût reconnaître qu’effectivement il avait fait preuve d’une navrante immaturité, il s’était laissé affecter par des apparences transitoires. Il résolut de retirer aux apparences transitoires l’importance inconsciente qu’il leur accordait, et décida d’aiguiser son regard et de chercher à saisir l’essentiel... Mais qu’était l’essentiel chez un Être ? Le Maître ne voulut lui fournir aucune explication en ce domaine, et le disciple fut contraint de retourner à son existence quotidienne sans aucune directive... Quelques mois plus tard, par le biais des jeux des relations humaines, il fit la connaissance d’une femme à l’allure extérieure presque neutre : elle n’était pas spécialement belle, sans être particulièrement laide, et ses caractéristiques psychophysiques ne correspondaient en rien aux canons du disciple. Cela aida le disciple à entrer en relation avec cette femme sans soubresauts psychophysiques... Au bout de plusieurs semaines de fréquentation, le disciple se rendit compte qu’il éprouvait un étrange sentiment envers cette femme. Cela était très différent de l’amour animal. A première vue il s’agissait d’une expérience moins intense, du point de vue du vécu physique/hormonal ; mais d’un autre point de vue, cette expérience avait une profondeur, une pureté et une grandeur indéniable. Troublé, le disciple alla voir son instructeur afin d’avoir quelques éclaircissements sur cette étonnante étrangeté.

C’est avec un évident sourire que le Maître l’accueillit. Comme à son habitude, le Maître demanda au disciple de bien vouloir expliciter clairement ce qui le préoccupait, et le disciple s’efforça de dire les choses telles qu’il paraissait les vivre : « J’éprouve comme une brise légère qui me caresse le cœur lorsque je pense à cette femme. Une brise légère, mais solide, forte d’une force tranquille. Cette brise me fait l’effet d’un sentiment d’admiration, de grandeur et de profondeur dont cette femme est la cause. Quelque part au-dedans de moi, c’est comme s’il existait un lien subtil entre elle et moi, une familiarité secrète, une silencieuse participation à quelque étrange fraternité intemporelle. C’est si étrange et si différent du sentiment animal que je ne saurais dire qu’il s’agit d’amour. ». Le Maître ne répondit rien et laissa le disciple repartir. Au moins le disciple avait-il essayé de mettre des mots sur ce qu’il ressentait, cet effort devait suffire pour l’instant à apaiser son questionnement à propos de cet inclassable sentiment.

Quelques semaines plus tard, la femme subit les mêmes difformités que la première. Mais, au lieu du rejet éprouvé lors de la première expérience, le disciple découvrit que son sentiment paraissait encore plus éclatant lorsque l’éclat du corps physique palissait. Il découvrit qu’au fond de lui-même, il aspirait à partager sa vie avec cette femme, non pas qu’il la désirait physiquement, mais parce qu’il éprouvait un sain plaisir à jouir de sa présence de conscience. C’est avec un cœur heureux qu’il prit soin de cette femme, et au bout de quelques mois les problèmes physiques se dissipèrent, et la femme reprit son ancienne apparence. Tout naturellement, le disciple et la femme se mirent ensemble, au sens où ils formaient désormais un couple... Le disciple découvrit que, par la vertu de cet étrange sentiment, il trouvait cette femme d’une exquise beauté, non qu’elle fût belle selon des critères extérieurs, encore que si elle l’eusse été cela n’aurait eu aucune incidence, mais son corps devenait beau parce que c’était elle qui l’habitait...

C’est avec une joie rare que le disciple se rendit une nouvelle fois auprès du Maître. Aux questions du Maître à propos de l’origine de ce sentiment, le disciple répondit : « Je me suis rendu compte que ce sont ses qualités intérieures qui me plaisent profondément. Je les trouve belles, grandes et merveilleuses ; mais aussi étrangement mystérieuses et subtiles. Elle est intérieurement pétrie d’une fine intelligence, sa compassion et sa générosité sont vibrantes de lumière vivifiante, et sa candeur ajoute de l’éclat à la bienveillance immanente qui émaille son regard sur tous ceux qui l’entourent. Elle est animée d’un feu d’humanité qui attise en moi ce qu’il me semble avoir de plus noble au regard de ma nature humaine. ». Puis, réfléchissant comme à part lui-même, le disciple ajouta : « Je me rends compte que j’aurais été incapable de ressentir ce sentiment, ou d’en prendre conscience, si j’avais continué à accorder une importance inconsciente aux apparences psychophysiques. Mes réactions animales auraient facilement brouillé la perception de ce qui pourtant existait au fond de mon cœur, car ce sentiment est subtil et transparent, alors que le sentiment animal est brutal et opaque. Ce sentiment est profond et doux, alors que le sentiment animal tape fort sur les tôles extérieures de notre Être, avec une férocité hormonale qui donne l’illusion d’une vraie intensité, alors qu’il s’agit d’une intensité extérieure à notre essence, comme l’est l’intensité d’une grande faim physique. ».

Le Maître hocha la tête et ajouta : « L’Être mature est celui qui a su dépasser l’hypnose illusoire des apparences psychophysiques, et qui sait poser son regard sur la nature d’Âme des Êtres. Le sentiment dont tu fais l’expérience est le seul qui mérite le nom d’amour, lorsqu’il s’agit d’envisager la relation de deux personnes dans la logique d’un couple. C’est l’amour spirituel, plus réel et plus profond que l’amour animal, malgré l’intensité hormonale que peut avoir le second. L’Être immature ne saurait éprouver cet amour spirituel, et l’Être à demi mature peut encore se laisser tromper par ses réactions animales, alors même qu’il se montre capable de reconnaître son sentiment spirituel. L’Être à demi mature est encore en attente du sentiment animal, et sa faible capacité à accéder pleinement à la sphère de vie du sentiment spirituel, fait qu’il peut dédaigner ce sentiment et le trouver moins intense. L’Être mature sait que, lorsque l’amour spirituel est présent, et lorsque la réactivité animale est dépassée, l’Être aimé devient également, aux yeux de l’Être qui aime, extérieurement beau, d’une exquise beauté, non pas du fait de quelque critère extérieur, mais comme la simple conséquence de la beauté d’Âme.

L’amour spirituel, porté jusqu’à sa véritable maturité, embrasse l’Âme et le corps, et le corps devient beau parce qu’il est la demeure d’une Âme belle, alors plus aucun besoin de sentiment animal ne subsiste, et il émerge un désir pur sublimé par la connexion d’Âme. ». Les explications du Maître avaient parachevé la compréhension du disciple, c’est avec gratitude qui rentra retrouver celle qu’il aimait.

Au bout de quelques années, son amour spirituel n’avait pas décliné, mais avait grandi, tout en demeurant aussi subtil et profond, seulement accessible au champ d’une conscience mature, expérience parfaitement incompréhensible pour les Êtres immatures. Cet amour spirituel avait pour objet cette femme à l’Âme si merveilleusement belle. La femme éprouvait le même amour spirituel à son égard, avec la même inclusion du corps dans la beauté de l’Âme. Mais, face au reste de l’Humanité, le disciple découvrit un sentiment d’un genre très particulier. Ce sentiment paraissait aussi subtilement supérieur à l’amour spirituel, que l’amour spirituel l’était par rapport à l’amour animal. Il conservait intact l’amour spirituel qu’il éprouvait envers sa compagne, mais il éprouvait un nouveau sentiment, qui s’étendait à tout le monde sans aucune espèce de distinction, et sans tenir compte des caractéristiques de l’Âme. En explorant son propre cœur, il découvrit que ce sentiment n’était pas une réaction à quelque beauté d’Âme de quelque Individualité, il s’agissait plutôt d’un sentiment qui prenait naissance dans son propre cœur, de son propre chef, et rayonnait sur tout le monde sans faire aucune espèce de différence. Avant de décider d’aller trouver le Maître, il essaya de cerner ce nouveau sentiment. Il découvrit qu’il s’agissait d’une radiance du cœur qui rayonnait une joie pure et inconditionnée sur toute chose, et qui comprenait une évidente volonté de lumière, volonté que tous les Êtres réalisent la lumière et vivent la lumière. Cette radiance semblait comprendre que tous les Êtres sont fondamentalement d’essence lumineuse, et le nouveau sentiment ne voyait que cette essence.

Lorsque le disciple arriva chez le Maître, ce dernier l’accueillit en souriant et se proposa spontanément de lui fournir les explications qu’il désirait, action étonnante par rapport aux habitudes du Maître. Le Sage expliqua : « Ce dont tu fais à présent l’expérience est l’amour divin, celui qui aime tous les Êtres, avec la même intensité, la même constance, la même clarté, sans qu’un Être paraisse plus estimable ou moins aimable qu’un autre. Développe intensément cet amour divin, car il te conduira jusqu’à l’Éveil. L’amour spirituel est ce qui doit te guider dans le choix de tes compagnes, d’incarnation en incarnation, et ce qui doit modeler l’existence de ton couple en tant que couple. L’amour divin est ce qui doit t’éclairer dans ta relation au monde en général. Comme cet amour te montre tous les Êtres sans les différencier en aucune sorte, il ne saurait constituer la base d’un couple en tant que couple, mais il est la véritable base de la fraternité universelle. L’amour spirituel est précieux car il fermente l’Âme, tandis que l’amour divin nourrit l’Esprit. L’amour divin apparaît aisément dans un cœur où l’amour spirituel s’est épanoui, et c’est l’expérience que tu es en train de faire. ». En entendant ces explications, le disciple se sentit heureux. Le Maître venait de lui enseigner le chemin de l’Eveil, chose qu’il désirait connaître depuis longtemps et que son instructeur paraissait lui refuser, et en son cœur il comprenait les paroles du Maître, car son cœur était beaucoup plus vivant, d’une vie spirituelle et divine. Il se rendit compte qu’il aurait été incapable de comprendre les paroles du Maîtres s’il n’avait d’abord dépassé l’amour animal, découvert l’amour spirituel puis rencontré l’amour divin.

 

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15 novembre 2012 4 15 /11 /novembre /2012 10:27
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